Voici les paroles de la chanson : Farewell to Pripyat , artiste : Christy Moore Avec traduction
Texte original avec traduction
Christy Moore
It was a Friday in April 1986,
The day that the nightmare began,
When the dust it rained down on our buildings and streets,
And entered our bedrooms at noon,
Touched the grass and the streets, bicycles, cars,
Beds books and picture frames too,
We stood around, helpless, confused,
Nobody knew what to do.
At two o’clock on Sunday the buses arrived,
A fleet of a thousand or more,
We were ordered to be on our way,
Not knowing what lay in store,
Some of our citizens fled in dismay,
And looked for a good place to hide,
Four o’clock came and the last bus pulled out,
T’was the day our lovely town died.
And the shirts sheets and handkerchiefs crack in the wind,
On the window ledge the withering plants,
And the Ladas and Volga’s are parked by the door,
And the bike’s in its usual stance.
Our evergreen trees lie withered and drooped,
They’ve poisoned our fertile land,
The streets speak a deafening silence,
Nothing stirs but the sand.
A visit back home is so eerie today,
A modern Pompeii on view,
To see all the old shops and the Forest Hotel,
And the Promyet Cinema too.
The mementos we gathered were all left behind,
Our Photos, letters and cards,
The toys of our children untouchable now,
Toy soldiers left standing on guard.
So fare thee well Pripyat, my home and my soul,
Your sorrow can know no relief,
A terrifying glimpse of the future you show,
Your children all scattered like geese,
The clothes line still sways but the owners long gone,
As the nomadic era returns,
The question in black and white blurred into grey,
The answer is too easy to learn.
C'était un vendredi d'avril 1986,
Le jour où le cauchemar a commencé,
Quand la poussière a plu sur nos bâtiments et nos rues,
Et est entré dans nos chambres à midi,
Touché l'herbe et les rues, vélos, voitures,
Des livres de lits et des cadres aussi,
Nous sommes restés là, impuissants, confus,
Personne ne savait quoi faire.
Dimanche à deux heures, les bus sont arrivés,
Une flotte de mille ou plus,
On nous a ordonné d'être en route,
Ne sachant pas ce qui l'attendait,
Certains de nos citoyens ont fui consternés,
Et cherché un bon endroit pour se cacher,
Quatre heures sont venues et le dernier bus est sorti,
C'était le jour où notre belle ville est morte.
Et les draps de chemises et les mouchoirs craquent au vent,
Sur le rebord de la fenêtre les plantes fanées,
Et les Ladas et Volga sont garées près de la porte,
Et le vélo est dans sa position habituelle.
Nos arbres à feuilles persistantes sont flétris et affaissés,
Ils ont empoisonné notre terre fertile,
Les rues parlent un silence assourdissant,
Rien ne bouge à part le sable.
Une visite à la maison est si étrange aujourd'hui,
Une Pompéi moderne en vue,
Pour voir toutes les vieilles boutiques et l'hôtel de la forêt,
Et le cinéma Promyet aussi.
Les souvenirs que nous avons rassemblés ont tous été laissés pour compte,
Nos Photos, lettres et cartes,
Les jouets de nos enfants intouchables maintenant,
Des petits soldats laissés debout sur la garde.
Alors adieu Pripyat, ma maison et mon âme,
Votre chagrin ne peut connaître aucun soulagement,
Un aperçu terrifiant de l'avenir que vous montrez,
Tes enfants tous éparpillés comme des oies,
La corde à linge se balance toujours mais les propriétaires sont partis depuis longtemps,
Avec le retour de l'ère nomade,
La question en noir et blanc s'est estompée en gris,
La réponse est trop facile à apprendre.
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