Мужское дело - Darom Dabro

Пустеет память и скрепят стулья,

Время нашей войны прошло, но летят пули.

Оглянувшись назад, увидел как менялись люди,

Пытался рассказать отцу, но он не понял сути.

Я помню каждые слова по грусти,

Порой бумага всё впитает, что не скажешь устно.

Воспитал себя на старых кассетах хип-хопа,

Сразу узнал свою мечту и полюбил свободу.

Былые нравы тут теперь не модны,

Каждый кто видел тут, прав, но обманут природой.

Тут пацаны как по указке раздувают водный,

Чтобы жить как в сказке и так летят годы.

Моя душа оберегает тело,

Я родился не для кучи денег, для одной идеи.

Всё не смолкаю по ночам, в этом городе тени,

Кружка чая, ручка, листок — это мужское дело.

И тут порой не избежать потери,

Люди смелы унижать других, хоронили веру.

С улыбкой врали себе, поступали скверно,

Если ты сопровождался сердцем, шёл верно.

Хочешь стоять, тогда ударь первым,

Не бояться ничего, так учил холодный север.

Когда вдвоём на четверых, не поможет везение,

Как можешь, только так ты увидишь спасение.

Моя судьба собрание воли,

Выливаю брату душу, что бы очиститься вскоре.

Пытаюсь не сойти с пути и не упасть на землю,

Скажи, во что ещё нас превратило время.

Кто-то согреет или хлопнет дверью,

Кто-то сидит в тени, кому-то не хватает премий.

Кто-то хотел найти себя и в итоге потерян,

За любовь от матерей, не жалко ни каких материй.

От настоящего остались блики,

Мы становимся старше, спотыкаясь о стыки.

Хотим увидеть жар, сами холоднее льдины,

И не жаль того, что скоро утонем в рутине.

В серых тонах пишу свою картину,

Мешаю краски на добре и не быть паутине.

Скоро холод уйдёт, нужно переждать зиму,

Слово может убить, а может подарить стимул.

Припев:

О чём кричит моё мужское дело,

И как нас можно изменить, если душа стлела.

Если швы не затянуть даже нитями воли,

Последний вздох придёт вскоре.

О чём кричит моё мужское дело,

И как нас можно изменить, если душа стлела.

Если швы не затянуть даже нитями воли,

Последний вздох придёт вскоре.

La mémoire est vide et les chaises seront tenues ensemble,

Le temps de notre guerre est passé, mais les balles volent.

En regardant en arrière, j'ai vu comment les gens ont changé,

J'ai essayé d'en parler à mon père, mais il n'a pas compris l'essentiel.

Je me souviens de chaque mot de tristesse,

Parfois, le papier absorbe tout ce que vous ne pouvez pas dire oralement.

Je me suis élevé sur de vieilles cassettes hip-hop

J'ai immédiatement reconnu mon rêve et je suis tombé amoureux de la liberté.

Les anciennes coutumes ne sont plus à la mode ici,

Tous ceux qui ont vu ici ont raison, mais ont été trompés par la nature.

Ici, les garçons, comme au bon moment, gonflent l'eau,

Vivre comme dans un conte de fées et ainsi les années passent.

Mon âme protège le corps

Je ne suis pas né pour beaucoup d'argent, pour une seule idée.

Je ne m'arrête pas la nuit, dans cette ville d'ombres,

Une tasse de thé, un stylo, un morceau de papier, c'est une affaire d'homme.

Et puis parfois vous ne pouvez pas éviter la perte,

Les gens sont courageux pour humilier les autres, ils ont enterré leur foi.

Avec un sourire ils se sont menti, ont mal agi,

Si vous étiez accompagné de votre cœur, vous marchiez correctement.

Si tu veux rester debout, alors frappe d'abord

N'ayez peur de rien, a donc enseigné le nord froid.

Quand c'est deux pour quatre, la chance n'aide pas,

Comment pouvez-vous, ce n'est qu'ainsi que vous verrez le salut.

Mon destin est une rencontre de volonté

Je verse mon âme à mon frère pour être purifié bientôt.

Essayant de ne pas s'égarer et de tomber par terre,

Dites-moi en quoi d'autre le temps nous a transformés.

Quelqu'un va réchauffer ou claquer la porte,

Quelqu'un est assis dans l'ombre, quelqu'un manque de bonus.

Quelqu'un voulait se retrouver et a fini par se perdre,

Pour l'amour des mères, ne vous sentez désolé pour aucune affaire.

Du présent il y a des reflets,

Nous vieillissons, trébuchant sur les articulations.

On veut voir la chaleur, eux-mêmes sont plus froids que la banquise,

Et ce n'est pas dommage que nous soyons bientôt noyés dans une routine.

Je peins mon tableau dans des tons de gris,

J'interfère avec les peintures sur le bien et ne sois pas une toile.

Bientôt le froid s'en ira, il faut attendre l'hiver,

Un mot peut tuer, ou il peut donner une incitation.

Refrain:

Ce que mes affaires viriles crient

Et comment pouvons-nous être changés si l'âme s'est décomposée.

Si les coutures ne sont pas resserrées même par les fils de la volonté,

Le dernier souffle viendra bientôt.

Ce que mes affaires viriles crient

Et comment pouvons-nous être changés si l'âme s'est décomposée.

Si les coutures ne sont pas resserrées même par les fils de la volonté,

Le dernier souffle viendra bientôt.