The War Drags On - Donovan

Let me tell you the story of a soldier named Dan

Went out to fight the good fight in South Vietnam

Went out to fight for peace, liberty and all

Went out to fight for equality, hope, let’s go

And the war drags on

Found himself involved in a sea of blood and bones

Millions without faces, without hope and without homes

And the guns they grew louder as they made dust out of bones

That the flesh had long since left just as the people left their homes

And the war drags on

They’re just there to try and make the people free

But the way that they’re doing it, it don’t seem like that to me

Just more blood-letting and misery and tears

That this poor country’s known for the last twenty years

And the war drags on

Last night poor Dan had a nightmare it seems

One kept occurring and re-occurring in his dream:

Cities full of people burn and scream and shoutin' loud

And right over head a great orange mushroom cloud

And there’s no more war

For there’s no more world

And the tears come streaming down

Yes, I lie crying on the ground

Laissez-moi vous raconter l'histoire d'un soldat nommé Dan

Je suis parti combattre le bon combat au Sud-Vietnam

Je suis sorti pour me battre pour la paix, la liberté et tout

Je suis allé me ​​battre pour l'égalité, j'espère, allons-y

Et la guerre s'éternise

S'est retrouvé impliqué dans une mer de sang et d'os

Des millions sans visages, sans espoir et sans maisons

Et les armes à feu sont devenues plus fortes alors qu'elles fabriquaient de la poussière à partir d'os

Que la chair était partie depuis longtemps, tout comme les gens ont quitté leurs maisons

Et la guerre s'éternise

Ils sont juste là pour essayer de rendre les gens libres

Mais la façon dont ils le font, ça ne me semble pas comme ça

Juste plus d'effusion de sang et de misère et de larmes

Que ce pauvre pays est connu depuis vingt ans

Et la guerre s'éternise

La nuit dernière, le pauvre Dan a fait un cauchemar, semble-t-il

L'une d'elles se produisait et se reproduisait dans son rêve :

Des villes pleines de gens brûlent et crient et crient fort

Et juste au-dessus de la tête un grand champignon orange

Et il n'y a plus de guerre

Car il n'y a plus de monde

Et les larmes coulent

Oui, je suis allongé en pleurant par terre