There Is An Ocean - Donovan

There is an ocean of vast proportion

And she flows within ourselves.

To take dips daily we dive in gaily,

He knows who goes within himself.

The abode of Angels, the mystical Promised Land,

The one and only Heaven, the God of man

Is but the closing of an eyelid away.

There is a silence of pure excellence

And she flows within ourselves.

To appreciate, re-deactivate,

He knows who goes within himself.

The domain of Devils, the Fearful Land,

The only and only Hades, the Satan of man

Is but the closing of an eyelid away.

All is as it was and ever more shall be,

Though they try to tell us it’s not so.

Over all the earth there’s nothing new to see,

Excepting every seed will newly grow.

Innocence in childhood false men misconstrue

To be years of darkness spent in shade,

Denying childhood’s vision of the God of Love,

So that Truth be turned about and untruth made,

And untruth made.

There is a reason for every season

Of change within ourselves.

To navigate, re-appreciate

And know the flow within ourselves.

The deliverance from Deluge, the good dry land,

The one and only Haven, the rock of Man

Is but the closing of an eyelid away.

There is a season, ooh,

There is an ocean, ooh,

There is a silence, ooh.

Il y a un océan de vaste proportion

Et elle coule en nous.

Pour prendre des bains tous les jours, nous plongeons gaiement,

Il sait qui va en lui-même.

La demeure des Anges, la mystique Terre Promise,

Le seul et unique Ciel, le Dieu de l'homme

N'est-ce que la fermeture d'une paupière.

Il y a un silence d'excellence pure

Et elle coule en nous.

Pour apprécier, réactiver,

Il sait qui va en lui-même.

Le domaine des démons, la terre effrayante,

Le seul et unique Hadès, le Satan de l'homme

N'est-ce que la fermeture d'une paupière.

Tout est comme c'était et sera toujours plus,

Bien qu'ils essaient de nous dire que ce n'est pas le cas.

Sur toute la terre, il n'y a rien de nouveau à voir,

Sauf que chaque graine poussera à nouveau.

L'innocence dans l'enfance, les faux hommes interprètent mal

Être des années d'obscurité passées à l'ombre,

Nier la vision de l'enfance du Dieu d'amour,

Afin que la Vérité soit inversée et que le mensonge soit fait,

Et contrevérité faite.

Il y a une raison pour chaque saison

De changer en nous-mêmes.

Pour naviguer, réappréciez

Et connaître le flux en nous-mêmes.

La délivrance du Déluge, la bonne terre sèche,

Le seul et unique Havre, le rocher de l'Homme

N'est-ce que la fermeture d'une paupière.

Il y a une saison, ooh,

Il y a un océan, ooh,

Il y a un silence, ooh.