Voici les paroles de la chanson : Baby soldato , artiste : I Cani Avec traduction
Texte original avec traduction
I Cani
Non lo sai perché ti sei trovata a correre
Chiuderti nel bagno e metterti a piangere
Col trucco che macchia la carta igienica
Come la ragazzina che non sei stata mai
Quando sei partita sembrava implicito
Questa vita ti avrebbe reso invincibile
Copertine, viaggi, glamour, fotografi
L’importante era avere un piano lucido
Dalle passerelle delle sfilate col freddo negli occhi
Lo stesso dei baby soldati
Alle passerelle di aerei privati
Ghetto tendenza, Vuitton, Milano, Parigi
E gallerie d’arte, lacrime calde
«Zio, non è niente, lo sai sono scoppiata, zio
Non è niente, sono solo stanca, zio
Non è niente, niente, niente…»
Non avresti mai detto di poter rimpiangere
Tua sorella coi suoi capelli blu
Ribellioni patetiche da città piccola
E tua madre che urla e tu che non ne puoi più
Devi fare in fretta, fuori t’aspettano
Ti guardi negli occhi allo specchio mandi giù
Prendi una sigaretta per aggrappartici e tornare in te
Al tuo piano lucido
Dalle passerelle delle sfilate col freddo negli occhi
Lo stesso dei baby soldati
Alle passerelle di aerei privati
Ghetto tendenza, Vuitton, Milano, Parigi
E gallerie d’arte, lacrime calde
«Zio, non è niente, lo sai sono scoppiata, zio
Non è niente, sono solo stanca, zio
Non è niente, niente, niente…»
Niente, niente, niente…
Tra la carriera e il rock ‘n' roll
Tra l’obiettivo ed il backdrop
Tra l’afterparty e il panico
Tra JFK e Charles De Gaulle
Tra la carriera e il rock ‘n' roll
Tra l’obiettivo ed il backdrop
Tra l’afterparty e il panico
Tra JFK e Charles De Gaulle
Tra la carriera e il rock ‘n' roll
Tra l’obiettivo ed il backdrop
Tra l’afterparty e il panico
Tra JFK e Charles De Gaulle
Tra la carriera e il rock ‘n' roll
Tra l’obiettivo ed il backdrop
Tra l’afterparty e il panico
Tra JFK e Charles De Gaulle
Tu ne sais pas pourquoi tu t'es retrouvé à courir
Enfermez-vous dans la salle de bain et commencez à pleurer
Avec le truc qui tache le papier toilette
Comme la petite fille que tu n'as jamais été
Quand tu es parti, cela semblait sous-entendu
Cette vie t'aurait rendu invincible
Couvertures, voyages, glamour, photographes
L'important était d'avoir un plan bien rodé
Des podiums des défilés de mode avec le froid dans les yeux
Comme les bébés soldats
Aux podiums des avions privés
Tendance ghetto, Vuitton, Milan, Paris
Et les galeries d'art, des larmes chaudes
"Mon oncle, ce n'est rien, tu sais que j'ai éclaté, mon oncle
Ce n'est rien, je suis juste fatigué, mon oncle
Ce n'est rien, rien, rien..."
Tu n'aurais jamais dit que tu pouvais regretter
Ta soeur aux cheveux bleus
Pathétiques rébellions de petites villes
Et ta mère qui crie et toi qui n'en peux plus
Tu dois te dépêcher, ils t'attendent dehors
Tu te regardes dans les yeux dans le miroir que tu avales
Prends une cigarette pour t'y accrocher et reviens vers toi
A ton sol ciré
Des podiums des défilés de mode avec le froid dans les yeux
Comme les bébés soldats
Aux podiums des avions privés
Tendance ghetto, Vuitton, Milan, Paris
Et les galeries d'art, des larmes chaudes
"Mon oncle, ce n'est rien, tu sais que j'ai éclaté, mon oncle
Ce n'est rien, je suis juste fatigué, mon oncle
Ce n'est rien, rien, rien..."
Rien, rien, rien...
Entre carrière et rock 'n' roll
Entre l'objectif et le décor
Entre l'after et la panique
Entre JFK et Charles De Gaulle
Entre carrière et rock 'n' roll
Entre l'objectif et le décor
Entre l'after et la panique
Entre JFK et Charles De Gaulle
Entre carrière et rock 'n' roll
Entre l'objectif et le décor
Entre l'after et la panique
Entre JFK et Charles De Gaulle
Entre carrière et rock 'n' roll
Entre l'objectif et le décor
Entre l'after et la panique
Entre JFK et Charles De Gaulle
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