Olvida'o - Julio Sosa
С переводом

Olvida'o - Julio Sosa

Год
2005
Язык
`Espagnol`
Длительность
197580

Voici les paroles de la chanson : Olvida'o , artiste : Julio Sosa Avec traduction

Paroles : Olvida'o "

Texte original avec traduction

Olvida'o

Julio Sosa

Оригинальный текст

¡Lo mataron al pobre Conteras!

¡Recién se casaba!

¡Si es para no creer!

Juan Luz Mala, saltó la tranquera

Y vino a llevarle a su propia mujer…

Fue en el patio e' la estancia «La Hazaña»

La fiesta 'e los novios era un esplendor;

Mas de pronto dos dagas hicieron

De aquella alegría un cuadro de horror

(recitado)

Herido de muerte

Y en sangre bañao

Habló de este modo

El recién casao:

No es nada, mi gaucha;

No te asustes, mi alma…

A los dos peleando

Se nos fue el facón…

Siento que me llega

Un vientito helado

Aquí, de este lado

Sobre el corazón…

Llevame unas flores…

Andá a visitarme…

La tierra es muy fría

Pa' estar olvidao…

¡Adiosita, gaucha

Te estaré esperando!

¡Me voy apagando

De puro finao!

Al principio fue todo promesas…

La viuda lloraba, sin duda demás;

Pero al fin se le fue la tristeza

Y a su pobre gaucho no lo fue a ver más

¡Con razón que en las noches 'e tormenta

Se escucha patente, la voz del finao

Que la llama diciendo: ¡Lucinda

Estoy muy solito, llegate a mi lao!

Перевод песни

Ils ont tué le pauvre Conteras !

Il vient de se marier !

Si ce n'est pas croire !

Juan Luz Mala, a sauté la porte

Et il est venu prendre sa propre femme...

C'était dans la cour de la chambre "La Hazaña"

La fiesta 'e los novios était une splendeur ;

Mais tout à coup deux poignards firent

De cette joie une image d'horreur

(récitation)

Blessé mortellement

Et baigné de sang

parlé comme ça

Les nouveaux mariés :

Ce n'est rien, ma gaucha ;

N'aie pas peur, mon âme...

à nous deux qui nous battons

Nous avons perdu le facon...

je le sens venir à moi

un vent glacial

ici de ce côté

A propos du coeur...

Apportez-moi des fleurs...

Viens me rendre visite...

la terre est très froide

A oublier...

Au revoir, gaucha

Je t'attendrai!

je m'éteins

Tout à fait bien !

Au départ, tout n'était que promesses...

La veuve pleurait, sans doute trop ;

Mais enfin la tristesse le quitta

Et il n'allait plus voir son pauvre gaucho

Pas étonnant que les nuits d'orage

On l'entend patente, la voix de finao

Cela l'appelle en disant: Lucinda

Je suis très seul, viens à mes côtés !

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