Viejo Smoking - Julio Sosa
С переводом

Viejo Smoking - Julio Sosa

Год
2005
Язык
`Espagnol`
Длительность
176530

Voici les paroles de la chanson : Viejo Smoking , artiste : Julio Sosa Avec traduction

Paroles : Viejo Smoking "

Texte original avec traduction

Viejo Smoking

Julio Sosa

Оригинальный текст

Campaneá cómo el cotorro va quedando despoblado

Todo el lujo es la catrera compadreando sin colchón

Y mirá este pobre mozo cómo ha perdido el estado

Amargado, pobre y flaco como perro de botón

Poco a poco todo ha ido de cabeza p’al empeño

Se dio juego de pileta y hubo que echarse a nadar…

Sólo vos te vas salvando porque pa' mi sos un sueño

Del que quiera Dios que nunca me vengan a despertar

Viejo smocking de los tiempos

En que yo también tallaba…

¡Cuánta papusa garaba

En tus solapas lloró!

Solapas que con su brillo

Parece que encandilaban

Y que donde iba sentaban

Mi fama de gigoló

Yo no siento la tristeza de saberme derrotado

Y no me amarga el recuerdo de mi pasado esplendor;

No me arrepiento del vento ni los años que he tirado

Pero lloro al verme solo, sin amigos, sin amor;

Sin una mano que venga a llevarme una parada

Sin una mujer que alegre el resto de mi vivir…

¡Vas a ver que un día de éstos te voy a poner de almohada

Y, tirao en la catrera, me voy a dejar morir!

Viejo smocking, cuántas veces

Перевод песни

Bell comment le perroquet se dépeuple

Tout le luxe est le compadreando sans matelas

Et regarde ce pauvre jeune homme comme il a perdu son état

Amer, pauvre et maigre comme un chien bouton

Petit à petit tout s'est chamboulé pour l'effort

Il y avait une partie de billard et nous avons dû commencer à nager...

Seulement tu te sauves car pour moi tu es un rêve

Celui que Dieu veut qu'ils ne viennent jamais me réveiller

smoking d'antan

Dans lequel j'ai aussi sculpté...

combien de papusa garaba

Dans vos revers il a pleuré !

Te fait briller de ton éclat

Il paraît qu'ils ont ébloui

Et là où il est allé, ils se sont assis

Ma renommée de gigolo

Je ne ressens pas la tristesse de savoir que j'ai été vaincu

Et le souvenir de ma splendeur passée ne me rend pas amer ;

Je ne regrette pas le vent ni les années que j'ai gâchées

Mais je pleure quand je me vois seul, sans amis, sans amour ;

Sans qu'une main ne vienne m'arrêter

Sans une femme pour égayer le reste de ma vie...

Tu vas voir qu'un de ces jours je vais te mettre en oreiller

Et mets-toi en selle, je vais me laisser mourir !

Vieux tabagisme, combien de fois

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