Я пуст (Страх брошен) - MaryJane

Дя, я пуст, но здесь бьюсь.

Лесть грусть приносит, но нет чувств, бросить просят и пусть просят.

Я прав и гнев мой — не грех, гнев — нрав мой.

Храбрый в бою лечит раны смертью менее храбрых.

Хохотом холодом взглядов то что вам надо делайте.

Вот она новая слабость, дело за малым, где же вы?

Ложь бесполезна, хоть пальцем на себя показывайте!

Празднуете, а я брезгую повсеместной известностью.

Тот прав, кто правдой по праву правит.

Так, брат!

Тот слаб, кто слабость чует и прячет за клыками.

Тот крут, кто читает рэп?

Увы, не так, друг.

Рэп крут тогда, когда его тот, кто прав, читает.

А мне не нужно ваших почестей, коситься бросте вы.

Я пуст, но разве похож на рвущего падаль в клочья.

И мой рэп, лиш мой рэп.

Кто слеп, тот увы слеп, но и слепому яд — яд, а хлеб — хлеб.

Мы пусты, как чистые листы, такой ли ты?

Мы просты, наши слова честны, со мной ли ты?

Мы преданы только правде и теми кто слаб был.

Мы верим идее главной, вы мерите наш пыл.

Я пуст, страх брошен, мои мысли о плохом и хорошем консервативны.

Я немного в прошлом.

Мне противны пошлые взгляды тех, чьи сто голов не

отличаются от ста голов баранов стада.

Со мной ли ты в этом мире холода, где тысячи лет вечно нищие ищут не тепла,

а золота.

Погоди меня судить за юность идей моих.

Мы их так долго ростили об руку с этим миром опытным.

Как быстро моя кисть изменит картину красками чистыми, или я положу на это

жизнь свою.

С теми, чьи слова рознятся с идеями искренними.

Мы по разные стороны принципов выстроились.

Как долго моим долгом будет на грехи выть волком, чтобы толком превратить мой

вой в стихи.

Из тех, кто за мной кто со мной, знает толк твоих строк слог моих слов не

затмить сном.

Мы пусты, как чистые листы, такой ли ты?

Мы просты, наши слова честны, со мной ли ты?

Мы преданы только правде и теми кто слаб был.

Мы верим идее главной, вы мерите наш пыл.

Смотрите, наш рай под ударом!

Нас разбивают по парам все рады слышать не песни,

а скрежет метела, даром.

Все мы знакомы с этим, вряд ли кому то чуждо, многие лгут в куплетах,

но кто-то лиш в этом лучший.

Главное меняем на громкое, тратя деньги на скомканый лист с чужими куплетами

колкими.

Шавки те, а не волки, чьи слова как иголки ранят, но меня не собъют с ног,

не затрут слог без толку.

Ваша стая ждёт боя со мной, даже не зная ради чего я пишу и какое моё я второе.

Отбейтесь от сплетен, смейся не слушая песен, рифмуй хоть минут десять я знаю

что внутри плесень.

Да, я пуст, здесь ни кем не встречен и пусть, мне так легче грусти перебить

злостью вкус.

Свечи зажгите, глаза закройте, готовтесь к бою умереть достойно и боли не

бойтесь оно того стоит.

Мы пусты, как чистые листы, такой ли ты?

Мы просты, наши слова честны, со мной ли ты?

Мы преданы только правде и теми кто слаб был.

Мы верим идее главн

Dya, je suis vide, mais je me bats ici.

La flatterie apporte de la tristesse, mais il n'y a pas de sentiments, ils demandent d'arrêter et les laissent demander.

J'ai raison et ma colère n'est pas un péché, la colère est mon tempérament.

Les braves au combat guérissent les blessures avec la mort des moins braves.

Le rire froid ressemble à ce que vous devez faire.

Ici c'est une nouvelle faiblesse, l'affaire est petite, où es-tu ?

Les mensonges ne servent à rien, même pointez-vous du doigt !

Célébrez, et je dédaigne la renommée généralisée.

Il a raison celui qui gouverne justement avec la vérité.

Oui frère!

C'est un faible qui sent la faiblesse et la cache derrière ses crocs.

Le cool qui rappe ?

Hélas, pas si, mon ami.

Le rap c'est cool quand celui qui a raison le lit.

Et je n'ai pas besoin de tes honneurs, espèce de louche.

Je suis vide, mais ai-je vraiment l'air d'une charogne qui se déchire.

Et mon rap, juste mon rap.

L'aveugle est hélas aveugle, mais le poison est un poison pour l'aveugle, et le pain est le pain.

Nous sommes vides, comme des feuilles blanches, c'est toi ?

Nous sommes simples, nos paroles sont honnêtes, es-tu avec moi ?

Nous ne sommes dévoués qu'à la vérité et à ceux qui étaient faibles.

Nous croyons à l'idée principale, vous mesurez notre ardeur.

Je suis vide, la peur est abandonnée, mes pensées sur le bien et le mal sont conservatrices.

Je suis un peu dans le passé.

Je déteste les regards vulgaires de ceux dont les cent têtes ne sont pas

différent de cent têtes de moutons dans un troupeau.

Es-tu avec moi dans ce monde de froid, où depuis des milliers d'années les mendiants cherchent la chaleur,

mais l'or.

Attendez une minute pour me juger sur la jeunesse de mes idées.

Nous les cultivons depuis si longtemps main dans la main avec ce monde expérimenté.

À quelle vitesse mon pinceau changera-t-il l'image avec des couleurs nettes, ou vais-je le mettre

sa vie.

Avec ceux dont les paroles diffèrent des idées sincères.

Nous nous sommes alignés sur des côtés opposés de principes.

Combien de temps sera-t-il de mon devoir de hurler aux péchés comme un loup afin de bien tourner mon

hurler en vers.

De ceux qui sont derrière moi, qui sont avec moi, connaissent le sens de tes lignes, la syllabe de mes mots n'est pas

assombrir le sommeil.

Nous sommes vides, comme des feuilles blanches, c'est toi ?

Nous sommes simples, nos paroles sont honnêtes, es-tu avec moi ?

Nous ne sommes dévoués qu'à la vérité et à ceux qui étaient faibles.

Nous croyons à l'idée principale, vous mesurez notre ardeur.

Regardez, notre paradis est attaqué !

Nous sommes divisés en binômes, tout le monde est content d'entendre pas des chansons,

et le grincement d'un balai, pour rien.

Nous connaissons tous cela, cela n'est pratiquement étranger à personne, beaucoup mentent dans des distiques,

mais quelqu'un n'est que le meilleur dans ce domaine.

Nous changeons l'essentiel en bruyant, dépensant de l'argent sur une feuille froissée avec les vers des autres

tranchant.

Ces cabots, pas des loups, dont les mots font mal comme des aiguilles, mais ne me feront pas tomber,

ils n'écraseront pas la syllabe en vain.

Votre troupeau attend un combat avec moi, ne sachant même pas pourquoi j'écris et quel est mon second moi.

Combattre les commérages, rire sans écouter de chansons, rimer pendant au moins dix minutes, je sais

il y a de la moisissure à l'intérieur.

Oui, je suis vide, je ne suis rencontré par personne ici, et laisse faire, c'est plus facile pour moi d'interrompre la tristesse

goût malicieux.

Allumez les bougies, fermez les yeux, préparez-vous au combat pour mourir avec dignité et sans douleur

peur que ça en vaille la peine.

Nous sommes vides, comme des feuilles blanches, c'est toi ?

Nous sommes simples, nos paroles sont honnêtes, es-tu avec moi ?

Nous ne sommes dévoués qu'à la vérité et à ceux qui étaient faibles.

Nous croyons à l'idée de