Voici les paroles de la chanson : Cierra los Ojos (En Directo) , artiste : Melendi Avec traduction
Texte original avec traduction
Melendi
Cierra los ojos,
Párate a pensar
Abre los cerrojos
Que te hacen llorar.
Cierra los ojos
Párate a pensar.
Sal ya de mi que todo
Vuelva a ser igual que antes
De ti.
Me cogiste cuando apenas era un niño
Entregándome dos alas pa' volar
Yo firmé sin leer la letra pequeña
Donde ponía la ostia que me iba a pegar
Con el tiempo solo me fui dando cuenta
Que lo raro no era lo de los demás
Y que tu eres sin dudar un arma blanca
Mas dañina que ninguna de metal.
Cierra los ojos
Piensa en los demás
Tu no sufres solo
Quierete algo mas
Cierra los ojos
Párate a pensar.
Sal ya de mi
Que todo vuelva a ser igual que antes
De ti.
Me cogiste cuando apenas era un niño
Entregándome dos alas pa volar
Yo firmé sin leer la letra pequeña
Donde ponía la ostia que me iba a pegar
Con el tiempo solo me fui dando cuenta
Que lo raro no era lo de los demás
Y que tu eres sin dudar un arma blanca
Mas dañina que ninguna de metal.
Y ahora el tiempo
Siempre correrá en mi contra
Porque yo se que no descansaras
Cuando crecen mis complejos
Veo tu sombra
Ofreciéndome la falsa libertad.
Cierra los ojos
Párate a pensar.
Ferme les yeux,
arrêter de penser
ouvrir les serrures
qui te fait pleurer
Ferme les yeux
Arrêtez de penser.
Sortez de moi que tout
Soyez le même qu'avant
De toi.
Tu m'as pris quand je n'étais qu'un enfant
Me donnant deux ailes pour voler
J'ai signé sans lire les petits caractères
Où ai-je mis l'ostia qui allait me frapper
Avec le temps j'ai seulement réalisé
Que l'étrange n'était pas celle des autres
Et que tu es sans aucun doute une arme blanche
Plus dommageable que n'importe quel métal.
Ferme les yeux
Pense aux autres
tu ne souffres pas seul
veux quelque chose de plus
Ferme les yeux
Arrêtez de penser.
Hors de ma vue
Que tout soit comme avant
De toi.
Tu m'as pris quand je n'étais qu'un enfant
Me donnant deux ailes pour voler
J'ai signé sans lire les petits caractères
Où ai-je mis l'ostia qui allait me frapper
Avec le temps j'ai seulement réalisé
Que l'étrange n'était pas celle des autres
Et que tu es sans aucun doute une arme blanche
Plus dommageable que n'importe quel métal.
et maintenant le temps
Courra toujours contre moi
Parce que je sais que tu ne te reposeras pas
Quand mes complexes grandissent
je vois ton ombre
M'offrant la fausse liberté.
Ferme les yeux
Arrêtez de penser.
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