бу-бу - Ночные Снайперы

Он был печальный и серьёзный, он вернулся к жене,

Цветы по-прежнему не пахли на немытом окне.

Как на войне, подумал он, в той стороне откуда я растут деревья.

Мотор свернулся эмбрионом в животе гаража,

Он вымыл шею две руки и сел за стол не спеша,

Хотелось спать смотреть кино, что абсолютно всё равно, когда устанешь.

Припев:

Как это весело спешить к тебе на полном ходу, я знаю точно что к тебе сегодня

снова приду,

А остальное за спиною не догонит, не поймает, тот кто помнит понимает, понимает.

Наутро серые кварталы проносились стеной,

Он как всегда пришёл последним и с больной головой.

Как на войне, подумал он, в той стороне откуда я друг другу рады.

И понедельник покатился первым камнем с горы,

Так неохотно и печально, но до первой поры,

Когда пройдёт ещё пять дней и можно будет будет к ней, плевать что дальше.

Припев:

Как это весело спешить к тебе на полном ходу, я знаю точно что к тебе сегодня

снова приду,

А остальное за спиною не догонит, не поймает, тот кто помнит понимает, понимает.

Пришли чужие, попросили с ними выпить вина,

Она стояла у плиты, хотя не мёрзла она,

Кричали дети во дворе и шахматисты как один глотали пешек

Она погладила собаку по широкому лбу

И почему-то вспомнила про птичку и про бу-бу,

Какая странная весна и это будет допоздна, холодным летом.

Припев:

Как это весело спешить к тебе на полном ходу, я знаю точно что к тебе сегодня

снова приду,

А остальное за спиною не догонит, не поймает, тот кто помнит понимает, понимает.

Как это весело спешить к тебе на полном ходу, я знаю точно что к тебе сегодня

снова приду,

А остальное за спиною не догонит, не поймает, тот кто помнит понимает, понимает.

Он был печальный и серьёзный…

Il était triste et sérieux, il retourna vers sa femme,

Les fleurs ne sentaient toujours pas sur la fenêtre non lavée.

Comme dans une guerre, pensa-t-il, il y a des arbres qui poussent dans la direction d'où je suis.

Le moteur recroquevillé dans le ventre du garage

Il se lava le cou des deux mains et s'assit lentement à table,

Je voulais dormir pour regarder un film, ce qui est absolument pareil quand on est fatigué.

Refrain:

Comme c'est amusant de se précipiter vers toi à toute vitesse, je sais exactement quoi te voir aujourd'hui

Je reviendrai

Et le reste derrière le dos ne rattrapera pas, n'attrapera pas, celui qui se souvient comprend, comprend.

Au matin les quartiers gris se précipitaient comme un mur,

Comme toujours, il est arrivé le dernier et avec un mal de tête.

Comme dans une guerre, pensa-t-il, dans le sens d'où je me réjouis l'un de l'autre.

Et Lundi roula la première pierre de la montagne,

Si à contrecœur et tristement, mais jusqu'à la première fois,

Quand cinq jours de plus passeront et qu'il sera possible de lui rendre visite, peu m'importe ce qui se passera ensuite.

Refrain:

Comme c'est amusant de se précipiter vers toi à toute vitesse, je sais exactement quoi te voir aujourd'hui

Je reviendrai

Et le reste derrière le dos ne rattrapera pas, n'attrapera pas, celui qui se souvient comprend, comprend.

Des étrangers sont venus, ont demandé à boire du vin avec eux,

Elle se tenait devant le poêle, bien qu'elle n'ait pas gelé,

Les enfants ont crié dans la cour et les joueurs d'échecs ont avalé des pions comme un seul

Elle caressa le large front du chien

Et pour une raison quelconque, je me suis souvenu de l'oiseau et du boo-boo,

Quel printemps étrange et ce sera un été tardif et froid.

Refrain:

Comme c'est amusant de se précipiter vers toi à toute vitesse, je sais exactement quoi te voir aujourd'hui

Je reviendrai

Et le reste derrière le dos ne rattrapera pas, n'attrapera pas, celui qui se souvient comprend, comprend.

Comme c'est amusant de se précipiter vers toi à toute vitesse, je sais exactement quoi te voir aujourd'hui

Je reviendrai

Et le reste derrière le dos ne rattrapera pas, n'attrapera pas, celui qui se souvient comprend, comprend.

Il était triste et sérieux...