Nomer Odin - Olexesh, ZippO

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halt' fest

Erinner' mich zurück an die Zeit ohne Geld, deal' mit Packs

In die Straße verliebt

Alles ist so blass, Himmel weiß, immer Hass, immer flieg

Immer ständig auf Jagd

Das Leben, ja, es beißt in die Seite, kommt drauf an, was ich hab'

Ich blüh' auf jeden Tag

Wieder neugebor’n, wieder geht die Sonne auf, neue Kraft

Sieh, mein Block immer schwarz, Wetter schlecht, Konto wächst

Nummer eins, meine Taschen sind zu voll, geh mal weg

Bin am renn’n, weil ich muss

Wie viel Mut ist in dei’m Herz, wie viel Wahrheit steckt im Vers, wie viel Wert?

Schlag' den Benzer kaputt

Und ja, ich mach' es gut, Feuer brennt in der Hood, mach' es gut

Hab' so lange gesucht

Doch jetzt hab' ich gefunden, was ich wollte, trink' mein eigenes Blut

Fick auf Hartz-IV, lasse mich nicht lenken

Verträge nur aus Papier, seh' Schiffe am senken

Komm mit mir, ich zeig' dir vier verschied’ne Welten

Und nein, mein Bratucha, ich lasse mich nicht lenken

Und alles tut mir leid, zu viel Sonne, runter mit Jalousien

Und wenn alles von vorn geht, seh' ich dich von Weitem wie’n Schiff

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Wenn du auch gern hier wärst

Zusammen laufen schneller als alleine, meine Kraft fordert mehr

Jedes Mal hin und her (ja)

Bilder geh’n durch Kopf, ich erinner' mich, wie Vater mich fährt

Hab' das Laufen verlernt

Seitdem ich meine Patte hab', ist alles nicht mehr so weit entfernt

Taxi, bitte komm her

Ich zahl' dir auch 'n Zehner drauf, wenn du auf der linken Spur fährst

An der Konstabler war ich McDonald’s Vollzeit da

Und Gott sei dank hat idéal mich rausgebracht

Und wenn ich könnt', nochmal alles von vorn, Bruder

Denn jeder Tag war wie der erste meiner ersten Zeil’n

In zwei Welten aus Ruhm (jaja)

Früher geh' ich nicht auf andre, werde eins mit der Luft

Zieh' am Joint, zu viel Druck (jaja)

Sonne scheint, und mir hängen zu viel Lasten am Fuß

Ich will nie wieder Probleme, leg' mein’n Blick nur nach vorn

Trag' mich durch alle Systeme, bin für das hier gebor’n

Hab' mich draußen verlor’n, schenk' ihr draußen meinen Blick

Zeig' ihr meine Stadt sofort (ja), doch davor muss ich noch weg (jaja)

Und alles tut mir leid, zu viel Sonne, runter mit Jalousien

Und wenn alles von vorn geht, seh' ich dich von Weitem wie’n Schiff

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, la vie -

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tenir fermement

Rappelle-moi le temps sans argent, gère les packs

Amoureux de la rue

Tout est si pâle, le ciel le sait, déteste toujours, vole toujours

Toujours à la chasse

La vie, oui, ça mord le côté, ça dépend de ce que j'ai

Je fleuris chaque jour

Renaître à nouveau, le soleil se lève à nouveau, une nouvelle force

Tu vois, mon pad toujours noir, mauvais temps, compte qui grandit

Numéro un, mes poches sont trop pleines, va-t'en

Je cours parce que je dois

Combien de courage y a-t-il dans votre cœur, combien de vérité y a-t-il dans le verset, quelle valeur ?

Écrasez le Benzer

Et oui, je le ferai bien, le feu brûle dans le capot, fais-le bien

J'ai cherché si longtemps

Mais maintenant j'ai trouvé ce que je voulais, boire mon propre sang

Fuck Hartz IV, ne me laisse pas te diriger

Contrats papier uniquement, regarder les navires couler

Viens avec moi, je vais te montrer quatre mondes différents

Et non, ma Bratucha, je ne me laisserai pas diriger

Et désolé pour tout, trop de soleil, stores baissés

Et si tout va de face, je te vois de loin comme un navire

, la vie -

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Si tu veux être ici aussi

Courir plus vite ensemble que seul, ma force en demande plus

D'avant en arrière à chaque fois (ouais)

Des images me passent par la tête, je me souviens comment mon père m'a conduit

J'ai oublié comment marcher

Depuis que j'ai ma lambeau, tout n'est pas si loin

Taxi, veuillez venir ici

Je te donnerai aussi un dix si tu conduis sur la voie de gauche

Chez le constable j'étais chez McDonald's à plein temps

Et Dieu merci, idéal m'a sorti

Et si je pouvais, tout recommencer, mon frère

Parce que chaque jour était comme la première de mes premières lignes

Dans deux mondes de gloire (ouais ouais)

Je ne marche pas sur les autres avant, je ne fais plus qu'un avec l'air

Tire sur le joint, trop de pression (ouais ouais)

Le soleil brille et j'ai trop de charges suspendues à mes pieds

Je ne veux plus jamais de problèmes, regarde juste devant

Portez-moi à travers tous les systèmes, je suis né pour ça

Je me suis perdu dehors, donne-lui mon regard dehors

Montre-lui ma ville tout de suite (oui), mais avant je dois partir (oui, oui)

Et désolé pour tout, trop de soleil, stores baissés

Et si tout va de face, je te vois de loin comme un navire

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, la vie -

, la vie -