Мой Отец Возвратился С Войны - Пилигрим

Мой отец возвратился с войны, сквозь удушье кромешного чада.

Сквозь разбитые вдребезги сны и багряные отблески ада.

Не сломался, не сгинул, не слёг, трижды ранен, но смерти не сдался…

Он солдат своих верных берёг, за Россию отважно сражался.

Припев:

Может, Ангел хранил от стрельбы,

Рядом шёл в гимнастёрке линялой?

И дрожала рука у Судьбы,

И держать под прицелом устала.

Едким порохом пахла шинель, что насквозь продырявили пули.

Заносила могилы метель, где друзья боевые уснули.

Переплавила душу война, вбила в память заклятые беды.

И друзей фронтовых имена, и щемящую радость Победы!

Припев:

Может, Ангел хранил от стрельбы,

Рядом шёл в гимнастёрке линялой?

И дрожала рука у Судьбы,

И держать под прицелом устала.

Может, Ангел хранил от стрельбы,

Рядом шёл в гимнастёрке линялой?

И дрожала рука у Судьбы,

И держать под прицелом устала.

И держать под прицелом устала.

Mon père est revenu de la guerre, à cause de l'étouffement d'un enfant tout noir.

À travers les rêves brisés et les reflets pourpres de l'enfer.

Il ne s'est pas cassé, n'a pas péri, n'est pas tombé, a été blessé trois fois, mais ne s'est pas rendu à la mort ...

C'est un soldat de ses rives fidèles, courageusement combattu pour la Russie.

Refrain:

Peut-être que l'ange s'est gardé de tirer,

Marcher à proximité dans une gymnaste fanée ?

Et la main du destin trembla,

Et j'en ai marre de tenir sous la menace d'une arme.

Le pardessus sentait la poudre à canon caustique, transpercée par les balles.

Le blizzard a apporté les tombes, où les amis combattants se sont endormis.

La guerre a fondu l'âme, refoulé les troubles maudits dans la mémoire.

Et les noms des amis de première ligne, et la joie douloureuse de la Victoire !

Refrain:

Peut-être que l'ange s'est gardé de tirer,

Marcher à proximité dans une gymnaste fanée ?

Et la main du destin trembla,

Et j'en ai marre de tenir sous la menace d'une arme.

Peut-être que l'ange s'est gardé de tirer,

Marcher à proximité dans une gymnaste fanée ?

Et la main du destin trembla,

Et j'en ai marre de tenir sous la menace d'une arme.

Et j'en ai marre de tenir sous la menace d'une arme.