Pat Reilly - Planxty

It bein' on a monday morning, it bein' our pay day

We met Sergeant Jenkins at our goin' away

He says to Pat Reilly «You are a handsome young man

Will you come to John Kelly’s where we will set a dram»

And while we sat there boozin' and drinkin' our dram

He says to Pat Reilly «You are a handsome young man

I’d have you take the bounty and come along with me

To the sweet County Longford, strange faces there you’ll see»

«Oh no kind sir, a soldier’s life with me would not agree

Nor neither would I bind myself down from my liberty

For I lived as happy as a prince, my mind does tell me so

So fare thee well, I’m just goin' down, my?

shatter for to thow?

«Oh are you in a hurry, are you goin' away?

Or won’t you stop and listen to these words I’m goin' to say

Perhaps now Pat Reilly, you might do something worse

Than to leave your native country and enlist in the Black Horse»

Oh it’s I took the bounty, the reckoning was paid

The ribbons were brought out, me boys, and into my cockade

It’s early the next morning we all were made to stand

Before our grand general with hats all in our hands

He says to Pat Reilly «You are a little too low

With some other regiment I fear you have to go»

«I may go where I will, I have no-one to mourn

For my mother is dead, me boys, and never will return»

It’s not in the morning that I sing this song

But it’s in the cold evening as I march alone

With me gun o’er my shoulder I bitterly do weep

When I think of my true love that now lies fast asleep

My blessing on my mother that reared me neat and clean

But bad luck to my father that made me serve the queen

Oh had he been an honest man and learned to me my trade

I would never have enlisted nor worn the cockade

C'est un lundi matin, c'est notre jour de paie

Nous avons rencontré le sergent Jenkins à notre départ

Il dit à Pat Reilly "Tu es un beau jeune homme

Viendras-tu chez John Kelly où nous mettrons un dram »

Et pendant que nous étions assis là à boire et à boire notre dram

Il dit à Pat Reilly "Tu es un beau jeune homme

Je voudrais que tu prennes la prime et que tu viennes avec moi

Dans le doux comté de Longford, tu verras des visages étranges »

"Oh non gentil monsieur, une vie de soldat avec moi ne serait pas d'accord

Je ne me lierais pas non plus à ma liberté

Car j'ai vécu aussi heureux qu'un prince, mon esprit me le dit

Alors adieu, je vais juste descendre, mon Dieu ?

briser pour jeter ?

« Oh tu es pressé, tu pars ?

Ou ne vas-tu pas t'arrêter et écouter ces mots que je vais dire

Peut-être que maintenant, Pat Reilly, tu pourrais faire quelque chose de pire

Que de quitter son pays natal et de s'enrôler dans le Cheval noir »

Oh c'est j'ai pris la prime, le compte a été payé

Les rubans ont été sortis, moi les garçons, et dans ma cocarde

Il est tôt le lendemain matin, nous avons tous été obligés de rester debout

Devant notre grand général avec des chapeaux tous dans nos mains

Il dit à Pat Reilly "Tu es un peu trop bas

Avec un autre régiment, je crains que vous ne deviez y aller »

"Je peux aller où je veux, je n'ai personne à pleurer

Car ma mère est morte, moi les garçons, et ne reviendra jamais »

Ce n'est pas le matin que je chante cette chanson

Mais c'est dans la froide soirée que je marche seul

Avec mon arme sur mon épaule, je pleure amèrement

Quand je pense à mon véritable amour qui dort maintenant profondément

Ma bénédiction sur ma mère qui m'a élevé propre et propre

Mais pas de chance à mon père qui m'a fait servir la reine

Oh s'il avait été un honnête homme et m'avait appris mon métier

Je ne me serais jamais enrôlé ni porté la cocarde