Silhouettes - Sadistik, Lige Newton

Silhouettes in my stomach till it pangs

Thunder reigns we think of summer when in pain

From windowpanes I think how some are just in pain

Then winter came out in the colors that I paint

Yea we runaway to try to find a better plain

In bed or plane it’s fly or die in heaven’s name

Our fliers dyed by feathered wings

We buy our by and bys and go wherever zephyrs aim

And those who don’t know decide by weathervane

Or put a slow poke inside a weathered vein

Whether vain or insecure the cure’s to sell the fake

Wrap it in cellophane sacrifice the self for fame

We celebrate the dead and mourn so I pour up

They said I’m plain and never more so I Poe em

I leave the Ravens, raving about my poems

To each their own but you can read my palm

They’re not impressed my stomachs tied in knots depressed

I’ve come to press the pressure present in my sunk-in chest

There’s no treasure in this sunken chest

Under duress underdressed we can’t suck in breath

In the breadth of the shrunken heads we call to you

Sonic booms is what the knocks turn to

We’re nocturnal dizzy from the crop circles

Acid burns we’re taciturn and non-verbal

Still we mill through the mildew

They’re frail with the brail but they still say they feel you

What you don’t know can kill you

That one-in-a-mill you can’t come from that milieu

They told us we could be anything

They always lie through their teeth

They told us we could chase any dream

And then we died in our sleep

I sit upon my pedestal

Await the day you don’t come home

Your shades fade into your throne

Your silhouette and what’s soon to become

Your scent lingers as the Sun goes down

Your shape fades and times goes on

Your body burns at the break of dawn

And I’ve lost track of where we are

Your scent lingers as the Sun goes down

Your shape fades and times goes on

Your body burns at the break of dawn

And I’ve lost track of where we are

Your scent lingers as the Sun goes down

Your shape fades and times goes on

Your body burns at the break of dawn

And I’ve lost track of where we are

Des silhouettes dans mon estomac jusqu'à ce que ça me fasse mal

Le tonnerre règne, nous pensons à l'été quand nous avons mal

Depuis les vitres, je pense que certains souffrent

Puis l'hiver est sorti dans les couleurs que je peins

Ouais on s'enfuit pour essayer de trouver une meilleure plaine

Au lit ou en avion, c'est voler ou mourir au nom du ciel

Nos dépliants teints par des ailes emplumées

Nous achetons nos bys et bys et allons où les zéphyrs visent

Et ceux qui ne savent pas décident par girouette

Ou mettez un coup lent dans une veine altérée

Qu'il soit vain ou précaire, le remède est de vendre le faux

Enveloppez-le dans du cellophane, sacrifiez-vous pour la gloire

Nous célébrons les morts et pleurons donc je verse

Ils ont dit que je suis simple et jamais plus je Poe em

Je quitte les corbeaux, délirant de mes poèmes

A chacun son truc mais tu peux lire ma paume

Ils ne sont pas impressionnés par mes estomacs noués déprimés

Je suis venu appuyer sur la pression présente dans ma poitrine enfoncée

Il n'y a pas de trésor dans ce coffre englouti

Sous la contrainte, sous-habillés, nous ne pouvons pas respirer

Dans l'étendue des têtes réduites, nous t'appelons

Les bangs soniques sont ce à quoi les coups se transforment

Nous sommes étourdis par les crop circles

Brûlures à l'acide, nous sommes taciturne et non verbal

Pourtant, nous moulons à travers la moisissure

Ils sont fragiles avec le brail mais ils disent toujours qu'ils te sentent

Ce que tu ne sais pas peut te tuer

Ce one-in-a-mill tu ne peux pas venir de ce milieu

Ils nous ont dit que nous pouvions être n'importe quoi

Ils mentent toujours entre leurs dents

Ils nous ont dit que nous pouvions poursuivre n'importe quel rêve

Et puis nous sommes morts dans notre sommeil

Je suis assis sur mon piédestal

Attends le jour où tu ne rentres pas à la maison

Tes nuances se fondent dans ton trône

Votre silhouette et ce qui deviendra bientôt

Votre parfum persiste au coucher du soleil

Ta forme s'estompe et le temps passe

Ton corps brûle à l'aube

Et j'ai perdu la trace d'où nous sommes

Votre parfum persiste au coucher du soleil

Ta forme s'estompe et le temps passe

Ton corps brûle à l'aube

Et j'ai perdu la trace d'où nous sommes

Votre parfum persiste au coucher du soleil

Ta forme s'estompe et le temps passe

Ton corps brûle à l'aube

Et j'ai perdu la trace d'où nous sommes