Limerence - Sadistik

I’m glad to know that you’re so miserable to see me

Do you always sound like this or is it difficulty breathing?

Nothing comes but sickness when you greet me

Bloody gums are just a symptom of the teething

Skinny puppy getting thick as thieves

I’d kiss your feet if it would make me feel less incomplete

I wanted what I didn’t need, too wanton with the little things

Bittersweet projector reel haunted by the imagery

I just miss the feeling of you missing me

I can’t let you go I know I’m only special when the petals show

I’m talking with the specters while you watch me for the spectacle

Exoskeleton skin, protects those gentle whims

Pretzel limbs when they echo all my existential dread

Like is this the end?

I miss my friends, nothing makes a difference when

I know that I can’t change the past or get past all the changes

Live in limerence, lemon trees bitter as the memories

That vivisect my center still it’s better late than ever

To demonstrate forever they reduced you to a photograph

I went to face the weather making beautiful from overcast

No one lasts forever in this place, we’re all ephemeral

But still your words left scrapes all on my femoral

Je suis content de savoir que tu es si misérable de me voir

Parlez-vous toujours comme ça ou avez-vous des difficultés à respirer ?

Rien ne vient que la maladie quand tu me salues

Les gencives sanglantes ne sont qu'un symptôme de la dentition

Chiot maigre devenant gros comme des voleurs

J'embrasserais tes pieds si ça me faisait me sentir moins incomplet

Je voulais ce dont je n'avais pas besoin, trop dévergondé avec les petites choses

Bobine de projecteur douce-amère hantée par les images

Je manque juste le sentiment que tu me manques

Je ne peux pas te laisser partir, je sais que je ne suis spécial que lorsque les pétales se montrent

Je parle avec les spectres pendant que tu me regardes pour le spectacle

Peau d'exosquelette, protège ces doux caprices

Des membres de bretzel quand ils font écho à toute ma peur existentielle

Est-ce la fin ?

Mes amis me manquent, rien ne fait de différence quand

Je sais que je ne peux pas changer le passé ou surmonter tous les changements

Vivez dans la limérence, les citronniers amers comme les souvenirs

Ce vivisecte mon centre, il vaut mieux tard que jamais

Pour démontrer à jamais, ils vous ont réduit à une photographie

Je suis allé affronter le temps en faisant beau à partir d'un ciel couvert

Personne ne dure éternellement dans cet endroit, nous sommes tous éphémères

Mais toujours vos mots laissés gratter tout mon fémoral