El Viejo Matías - Victor Heredia
С переводом

El Viejo Matías - Victor Heredia

Альбом
La Historia Del Folklore (2da Parte)
Год
2005
Язык
`Espagnol`
Длительность
283380

Voici les paroles de la chanson : El Viejo Matías , artiste : Victor Heredia Avec traduction

Paroles : El Viejo Matías "

Texte original avec traduction

El Viejo Matías

Victor Heredia

Оригинальный текст

La lluvia y el viento eran dos hermanos

Corriendo furiosos por el terraplén

Y en un banco oscuro, mojado y mugriento

Él se acomodaba su uniforme gris

El viejo Matías duerme en cualquier parte

Un fantasma errante le toca la piel

Pero cuando llueve sus despojos buscan

La estación de chapas de Paso del Rey

Es cuco de niños y de no tan niños

Su figura triste cruzando el andén

Porque nadie ha visto sus ojos cansados

La cruz del olvido temblando en sus pies

A veces murmura cosas incoherentes

Habla de la guerra, imita al cañón

Y otras veces pone en sus ojos un niño

Y acuna en sus brazos su bolso marrón

Cuando llegan los trenes repletos de obreros

Se pone contento, brilla su mirar

Gorrión de la tarde, quiere hablar con todos

Y después se queda solo en el andén

Se queda mirando las vías vacías

La luz que se pierde del tren que pasó

Y después se aleja murmurando cosas

El viejo Matías, ogro del lugar

La lluvia y el viento eran dos hermanos

Corriendo furiosos por el terraplén

Y en un banco oscuro, mojado y mugriento

Él se acomodaba su uniforma gris

Перевод песни

La pluie et le vent étaient deux frères

Courir furieux sur le talus

Et sur un banc sombre, humide et sale

Il ajustait son uniforme gris

Le vieux Matías dort n'importe où

Un fantôme errant touche sa peau

Mais quand il pleut, leur butin cherche

La station de tôlerie Paso del Rey

C'est coucou d'enfants et pas si enfants

Sa silhouette triste traversant le quai

Parce que personne n'a vu ses yeux fatigués

La croix de l'oubli tremblant à ses pieds

Parfois il marmonne des choses incohérentes

Parler de la guerre, imiter le canon

Et d'autres fois il met un enfant dans ses yeux

Et berce son sac marron dans ses bras

Quand les trains pleins d'ouvriers arrivent

Il devient heureux, son regard brille

Moineau du soir, veut parler à tout le monde

Et puis il reste seul sur le quai

Il regarde les pistes vides

La lumière qui se perd du train qui est passé

Et puis il s'en va en marmonnant des choses

Le vieux Matías, ogre du lieu

La pluie et le vent étaient deux frères

Courir furieux sur le talus

Et sur un banc sombre, humide et sale

Il ajustait son uniforme gris

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