Voici les paroles de la chanson : El Gaucho , artiste : Victor Heredia, Pedro Aznar Avec traduction
Texte original avec traduction
Victor Heredia, Pedro Aznar
Hijo de algún confín de la llanura
Abierta, elemental, casi secreta
Tiraba el firme lazo que sujeta
Al firme toro de cerviz oscura
Se batió con el indio y con el godo
Murió en reyertas de baraja y taba;
Dio su vida a la patria, que ignoraba
Y así perdiendo, fue perdiendo todo
Hoy es polvo de tiempo y de planeta;
Nombres no quedan, pero el nombre dura
Fue tantos otros y hoy es una quieta
Pieza que mueve la literatura
Fue el matrero, el sargento y la partida
Fue el que cruzó la heroica cordillera
Fue soldado de Urquiza o de Rivera
Lo mismo da.
Fue el que mató a Laprida
Dios le quedaba lejos.
Profesaron
La antigua fe del hierro y del coraje
Que no consiente súplicas ni gaje
Por esa fe murieron y mataron
En los azares de la montonera
Murió por el color de una divisa;
Fue el que no pidió nada, ni siquiera
La gloria, que es estrépito y ceniza
Fue el hombre gris que, oscuro en la pausada
Penumbra del galpón, sueña y matea
Mientras en el oriente ya clarea
La luz de la desierta madrugada
Nunca dijo: soy gaucho.
Fue su suerte
No imaginar la suerte de los otros
No menos ignorante que nosotros
No menos solitario, entró en la muerte
Fils d'un bout de plaine
Ouvert, élémentaire, presque secret
J'ai tiré le lien ferme qui tient
Au taureau inébranlable au cou sombre
Il s'est battu avec les Indiens et avec les Goths
Il est mort dans des bagarres de cartes et de taba;
Il a donné sa vie au pays, qu'il a ignoré
Et donc perdre, c'était tout perdre
Aujourd'hui est la poussière du temps et de la planète ;
Les noms ne restent pas, mais le nom dure
Il y en a eu tant d'autres et aujourd'hui c'est un alambic
Pièce qui fait bouger la littérature
Il était le matrero, le sergent et le parti
C'est lui qui a traversé la chaîne de montagnes héroïque
C'était un soldat d'Urquiza ou de Rivera
Ce n'est pas important.
C'est lui qui a tué Laprida
Dieu était loin de lui.
ils professaient
L'antique foi du fer et du courage
Qui ne consent pas à plaider ou à payer
Pour cette foi, ils sont morts et tués
Dans les hasards de la montonera
Il est mort pour la couleur d'une monnaie ;
C'est lui qui n'a rien demandé, même pas
La gloire, qui est bruit et cendre
C'était l'homme gris qui, sombre dans le calme
Pénombre du cabanon, rêve et mate
Alors qu'à l'est c'est déjà clair
La lumière de l'aube du désert
Il n'a jamais dit : je suis un gaucho.
c'était sa chance
N'imaginez pas le sort des autres
Pas moins ignorant que nous
Non moins solitaire, il est entré dans la mort
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