Voici les paroles de la chanson : Pa'l Abrojal , artiste : Adriana Varela Avec traduction
Texte original avec traduction
Adriana Varela
El domingo llegó
Olvidándose el sol
Y en el rancho el Macario
Retumba y retumba
Guitarra y cantor
A un rincón el fogón
Donde el flaco Martín
Va dorando las tortas
Que a muchos bolsillos
Tecleando dejó
La chamarra es pueblo
Pueblo de verdad
Nació en el baldío
Bajo el abrojal
Trote que trota
Y salta de boca en boca
Son muchas manos que ya la tocan
Se hace lenguaje de la amistad
Trote corto y parejo
Sobre los tientos
Se desparrama a los cuatro vientos
Más siempre vuelve pa’l abrojal
Pegadito al candil
El Macario ha copao
Y se manda unas cuecas
Que al más embustero
Lo deja doblao
Lucianito cayó
Bastantito adobao
Cantando tacuruses
Y alguna de López
Se ha entreverao
La chamarra es pueblo
Pueblo de verdad
Nació en el baldío
Bajo el abrojal
Trote que trota
Y salta de boca en boca
Son muchas manos que ya la tocan
Se hace lenguaje de la amistad
Trote corto y parejo
Sobre los tientos
Se desparrama a los cuatro vientos
Más siempre vuelve pa’l abrojal
El domingo llegó
Con agüita de Dios
Tortafrita con mate
Y en cualquier agujero
Se ríe señor
El domingo se fue
Y los mozos también
Sólo quedan las cuerdas
Templando este trote
Recuerdos de ayer
La chamarra es pueblo
Pueblo de verdad
Nació en el baldío
Bajo el abrojal
Trote que trota
Y salta de boca en boca
Son muchas manos que ya la tocan
Se hace lenguaje de la amistad
Trote corto y parejo
Sobre los tientos
Se desparrama a los cuatro vientos
Más siempre vuelve pa’l abrojal
Dimanche est arrivé
oublier le soleil
Et au ranch Macario
Grondement et grondement
guitare et chanteur
Dans un coin le poêle
Où maigre Martin
Il dore les gâteaux
que dans de nombreuses poches
taper quitter
La veste est le peuple
vraie ville
Il est né dans le désert
sous le fourré
trotter ce trotter
Et sauter de bouche en bouche
Il y a beaucoup de mains qui la touchent déjà
Le langage de l'amitié est fait
Trot court et régulier
À propos des tientos
Il s'étend aux quatre vents
Plus reviens toujours pa'l abrojal
collé à la lampe
Le Macario a bu
Et envoyer des cuecas
que le plus menteur
le laisse plié
Lucianito est tombé
Un peu de marinade
tacurus chantants
Et certains de López
Il a mélangé
La veste est le peuple
vraie ville
Il est né dans le désert
sous le fourré
trotter ce trotter
Et sauter de bouche en bouche
Il y a beaucoup de mains qui la touchent déjà
Le langage de l'amitié est fait
Trot court et régulier
À propos des tientos
Il s'étend aux quatre vents
Plus reviens toujours pa'l abrojal
Dimanche est arrivé
Avec un peu d'eau de Dieu
Crêpe au maté
Et dans n'importe quel trou
rire monsieur
dimanche il est parti
Et les garçons aussi
Seules les cordes restent
Tempérer ce trot
Les souvenirs d'hier
La veste est le peuple
vraie ville
Il est né dans le désert
sous le fourré
trotter ce trotter
Et sauter de bouche en bouche
Il y a beaucoup de mains qui la touchent déjà
Le langage de l'amitié est fait
Trot court et régulier
À propos des tientos
Il s'étend aux quatre vents
Plus reviens toujours pa'l abrojal
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