She Painted Fire Across The Skyline - Agalloch

Oh dismal mourning

I open my weary eyes once again

My life has been left hollow

And ashes have filled the gorge of my within

Last night I hope and wished I’d die in my sleep

But no catharsis was granted to me

Will this pain ever pass?

The enchanting perfume of winter

And the bleak, cold breath of her still haunts me

(Oportet ubique pulchritudinem evanescere)

So half of me rode to the mountains

And the other half soared high in the winds

To a place where the angels had fallen

The soil gagged and choked on their wings

My soul was the pale skyline

That she stretched across the horizon

Two years had brought the fire

That she paints upon my loathsome canvas

Oh deuil lugubre

J'ouvre à nouveau mes yeux fatigués

Ma vie a été laissée vide

Et les cendres ont rempli la gorge de mon intérieur

La nuit dernière, j'espère et j'aurais souhaité mourir dans mon sommeil

Mais aucune catharsis ne m'a été accordée

Cette douleur passera-t-elle un jour ?

Le parfum envoûtant de l'hiver

Et son souffle sombre et froid me hante encore

(Oportet ubique pulchritudinem evanescere)

Alors la moitié de moi a monté dans les montagnes

Et l'autre moitié s'est envolée haut dans les vents

Dans un endroit où les anges étaient tombés

Le sol bâillonné et étouffé par leurs ailes

Mon âme était la pâle ligne d'horizon

Qu'elle étendait à l'horizon

Deux ans avaient apporté le feu

Qu'elle peint sur ma toile répugnante