Скоро буду - Da Gudda Jazz

Который час там у тебя?

Наверно меня там часто матерят…

Но, я верю, что всему виной — твое сердце,

Что бьется, аж тесно моему…

А я — жду Рандеву, наяву.

Я не думаю ни о чем больше.

Скоро буду я — бурями, пулями.

Меня — не остановить, точно!

Я ломаю время, слепо в поясах теряюсь.

Каждой каплей в иллюминатор не представлять тебя насквозь.

Улетаю далеко из-за нот,

И спасает только WEB и недолгий звонок.

Но, я вспоминаю тебя так часто.

Не бывало ведь даже часа без тебя.

Ну-ка дай мне шанс пополам поделиться, мчаться.

Твой дом мне нужен, мой поворот — твой город.

А мы — пока кружим.

Буду скоро…

Припев:

Когда поезда, самолеты опять унесут меня за километры,

И в памяти пусть даже мир позабудет об этом.

Одна!

И на года!

Ведь нагадало нам небо, теперь — я буду ветром!

Ветром.

И воровать тебя у лета!

Пока меня мотает по городам —

Каратает дни моя Алма-Ата…

И перед сном поминаю ее милым

Или иным словом, она — ждет меня.

Ее — дворы, дома, подворотни и родные кварталы…

Дорогая свора Da Gudda, город «А», я — скоро буду.

Лето, +40!

В тени давлюсь соком.

Пекло в аду словно.

И я кладу снова строки на бит, меня не остановить.

Меня жди мой город.

Даю слово, — буду скоро!

Я приеду, я — не предал.

Ты, поверь мне.

И при этом ты поведай, как попал в плен.

Мой фантом в дом, в родном городе.

В твоем и в том, потом — в одно целое.

Припев:

Когда поезда, самолеты опять унесут меня за километры,

И в памяти пусть даже мир позабудет об этом.

Одна!

И на года!

Ведь нагадало нам небо, теперь — я буду ветром!

Ветром.

И воровать тебя у лета!

Не забуду думать о тебе,

Как бы не был даже далеко.

Вспоминай обо мне, как о тепле,

Пока я к тебе бегом.

Скоро буду рядом мой дом, — не ищи для меня замены.

Знай, все бы отдал, чтобы быть тут до зари.

Я улетел надолго, про тебя расскажем городам,

Но скоро, я вернусь, и тогда…

Припев:

Когда поезда, самолеты опять унесут меня за километры,

И в памяти пусть даже мир позабудет об этом.

Одна!

И на года!

Ведь нагадало нам небо, теперь — я буду ветром!

Ветром.

И воровать тебя у лета!

И воровать тебя у лета…

A quelle heure es-tu là ?

Je suppose qu'ils m'injurient souvent là-bas...

Mais, je crois que ton cœur est à blâmer,

Qu'est-ce qui bat, déjà tout près de mon...

Et j'attends le Rendez-vous, en réalité.

Je ne pense à rien d'autre.

Bientôt je serai des tempêtes, des balles.

Je ne peux pas être arrêté, c'est sûr !

Je casse le temps, aveuglément perdu dans les ceintures.

Chaque goutte dans le hublot ne vous représente pas de bout en bout.

Je m'envole à cause des notes,

Et seulement WEB et un court appel enregistre.

Mais, je me souviens si souvent de toi.

Il n'y avait même pas une heure sans toi.

Eh bien, donnez-moi une chance de partager la moitié de la course.

J'ai besoin de ta maison, mon tour est ta ville.

Et nous tournons toujours en rond.

Je serai bientôt...

Refrain:

Quand les trains, les avions m'emmèneront à nouveau sur des kilomètres,

Et en mémoire, même si le monde l'oublie.

Une!

Et pendant des années !

Après tout, le ciel nous l'avait prédit, maintenant - je serai le vent !

Vent.

Et te voler l'été !

Pendant que je me promène dans les villes -

Mon Alma-Ata punit les jours...

Et avant d'aller me coucher je me souviens de sa chérie

Ou en d'autres termes, elle m'attend.

Ses cours, ses maisons, ses portes et ses quartiers indigènes ...

Chère meute de Da Gudda, ville "A", j'y serai bientôt.

Été, +40 !

Je m'étouffe avec du jus à l'ombre.

C'était comme l'enfer dans l'enfer.

Et je remets des lignes en rythme, je ne peux pas être arrêté.

Ma ville m'attend.

Je vous donne ma parole, j'y serai bientôt !

Je viendrai, je n'ai pas trahi.

Tu me fais confiance.

Et en même temps, dis-moi comment tu as été capturé.

Mon fantôme à la maison, dans ma ville natale.

Dans le vôtre et dans celui-là, alors - en un tout.

Refrain:

Quand les trains, les avions m'emmèneront à nouveau sur des kilomètres,

Et en mémoire, même si le monde l'oublie.

Une!

Et pendant des années !

Après tout, le ciel nous l'avait prédit, maintenant - je serai le vent !

Vent.

Et te voler l'été !

Je n'oublierai pas de penser à toi

Peu importe la distance.

Souviens-toi de moi aussi chaleureux

Pendant que je cours vers toi.

Bientôt, je serai près de chez moi - ne cherchez pas de remplaçant pour moi.

Sache que je donnerais tout pour être ici jusqu'à l'aube.

Je me suis envolé longtemps, nous parlerons de toi aux villes,

Mais bientôt, je reviens, et puis...

Refrain:

Quand les trains, les avions m'emmèneront à nouveau sur des kilomètres,

Et en mémoire, même si le monde l'oublie.

Une!

Et pendant des années !

Après tout, le ciel nous l'avait prédit, maintenant - je serai le vent !

Vent.

Et te voler l'été !

Et te voler l'été...