Voici les paroles de la chanson : A Witness to The Passing of Aeons , artiste : Fen Avec traduction
Texte original avec traduction
Fen
Uncoiling amongst the stars, my spirit-fight is endless,
I abandoned the prison of flesh millenia ago,
Parted my veins to shred the last veil,
Shrugged aside the chains that anchored me.
Left the shattered shell of my corporeal form to descend,
Into the blackness of this malicious earth,
And as my being merged with the very fabric of this withered planet
A new pathway was opened before me.
With each passing of the moon,
With each cycle of regeneration,
I felt a new strength bond with the very essence of my existence,
An amalgamation of the aether and the nameless emissions of the void,
Tethered to the flickering flame of my soul.
Ascension thus was born and beyond these mortals realms I foar,
Watching the stars collapse beneath the fury of the old ones.
The febrile breath of the universe,
Exhaled, Scattered, Dissipated,
Carried on the drifting, timeless winds,
I have watched civilisations rise and fall on this weakened planet,
I have seen the weakness of man cleansed by the rage of the cosmos,
Watched the skin of this decaying world scarified beyond recognition
Lifelessness if all that remains as my endless vision,
Watched the last light of reality gutter
And die.
Se déroulant parmi les étoiles, mon combat spirituel est sans fin,
J'ai abandonné la prison de la chair il y a des millénaires,
Séparé mes veines pour déchiqueter le dernier voile,
J'ai écarté les chaînes qui m'ancraient.
Laissé la coquille brisée de ma forme corporelle pour descendre,
Dans les ténèbres de cette terre malveillante,
Et alors que mon être fusionnait avec le tissu même de cette planète flétrie
Une nouvelle voie s'est ouverte devant moi.
À chaque passage de la lune,
À chaque cycle de régénération,
J'ai ressenti un nouveau lien fort avec l'essence même de mon existence,
Un amalgame de l'éther et des émissions sans nom du vide,
Attaché à la flamme vacillante de mon âme.
L'Ascension est ainsi née et au-delà de ces royaumes mortels, j'ai peur,
Regarder les étoiles s'effondrer sous la fureur des anciens.
Le souffle fébrile de l'univers,
Exhalé, dispersé, dissipé,
Emporté par les vents dérivants et intemporels,
J'ai vu des civilisations s'élever et tomber sur cette planète affaiblie,
J'ai vu la faiblesse de l'homme nettoyée par la rage du cosmos,
J'ai regardé la peau de ce monde en décomposition scarifié au-delà de toute reconnaissance
Sans vie si tout cela reste comme ma vision sans fin,
J'ai regardé la dernière lueur de la gouttière de la réalité
Et meurt.
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