Voici les paroles de la chanson : На заре , artiste : Григорий Лепс Avec traduction
Texte original avec traduction
Григорий Лепс
Где-то в городе идет снег, превращаясь на щеках в дождь.
И не кончится никак век, и не сменится никак вождь.
Я на воле не был сто лет, я забыл, как шелестит бриз.
Птица белая летит вверх, отражение скользит вниз.
На заре я выйду в туман, на заре покину приют.
Припаду, рыдая, к цветам и ноздрями землю втяну.
На заре устав от любви в сотый раз тебя призову.
Не боясь, что снова проснусь, мокрых простыней плен разорву.
Слышу в комнате моей смех, на стене дрожит свечей блик.
Смех на простыне чужой - грех, переходит в горле смех в крик.
Отражается в зрачках ночь, память складывает все впрок.
Подрастает без меня дочь, а бессонница мне шьет срок.
На заре я выйду в туман, на заре покину приют.
Припаду, рыдая, к цветам и ноздрями землю втяну.
На заре устав от любви в сотый раз тебя призову.
Не боясь, что снова проснусь, мокрых простыней плен разорву.
На заре я выйду в туман, на заре покину приют.
Припаду, рыдая, к цветам и ноздрями землю втяну.
На заре я выйду в туман, на заре покину приют.
Припаду, рыдая, к цветам и ноздрями землю втяну.
На заре устав от любви в сотый раз тебя призову.
Не боясь, что снова проснусь, мокрых простыней плен разорву.
Где-то в городе идет снег, превращаясь на щеках в дождь.
И не кончится никак век, и не сменится никак...
Quelque part dans la ville, il neige, se transformant en pluie sur les joues.
Et le siècle ne se terminera en aucune façon, et le chef ne changera en aucune façon.
Je n'ai pas été libre depuis cent ans, j'ai oublié comment la brise bruisse.
L'oiseau blanc s'envole, le reflet glisse vers le bas.
A l'aube je sortirai dans le brouillard, à l'aube je quitterai l'abri.
Je tomberai en sanglotant, je tirerai la terre jusqu'aux fleurs et aux narines.
A l'aube, fatigué d'aimer pour la centième fois, je t'appellerai.
N'ayant pas peur de me réveiller à nouveau, je déchirerai la captivité des draps mouillés.
J'entends des rires dans ma chambre, un éclat de bougies tremble sur le mur.
Rire sur la feuille de quelqu'un d'autre est un péché, le rire se transforme en cri dans la gorge.
Reflétée dans les pupilles de la nuit, la mémoire met tout en réserve.
Ma fille grandit sans moi, et l'insomnie me fixe une échéance.
A l'aube je sortirai dans le brouillard, à l'aube je quitterai l'abri.
Je tomberai en sanglotant, je tirerai la terre jusqu'aux fleurs et aux narines.
A l'aube, fatigué d'aimer pour la centième fois, je t'appellerai.
N'ayant pas peur de me réveiller à nouveau, je déchirerai la captivité des draps mouillés.
A l'aube je sortirai dans le brouillard, à l'aube je quitterai l'abri.
Je tomberai en sanglotant, je tirerai la terre jusqu'aux fleurs et aux narines.
A l'aube je sortirai dans le brouillard, à l'aube je quitterai l'abri.
Je tomberai en sanglotant, je tirerai la terre jusqu'aux fleurs et aux narines.
A l'aube, fatigué d'aimer pour la centième fois, je t'appellerai.
N'ayant pas peur de me réveiller à nouveau, je déchirerai la captivité des draps mouillés.
Quelque part dans la ville, il neige, se transformant en pluie sur les joues.
Et le siècle ne se terminera en aucune façon, et il ne changera en aucune façon ...
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