Como Todas - Julio Sosa, Orquesta de Leopoldo Federico
С переводом

Como Todas - Julio Sosa, Orquesta de Leopoldo Federico

  • Année de sortie: 2013
  • Langue: Espagnol
  • Durée: 3:05

Voici les paroles de la chanson : Como Todas , artiste : Julio Sosa, Orquesta de Leopoldo Federico Avec traduction

Paroles : Como Todas "

Texte original avec traduction

Como Todas

Julio Sosa, Orquesta de Leopoldo Federico

Оригинальный текст

¡Óigale a la moza!

¿Yorás porque el gaucho

Se fue pa’los pagos de ande no se güelve

Y has quedado solita como oveja guacha

Que no tiene un perro que por ella vele?

No siento tu pena, que ha de ser fingida

Siento las del gaucho que se jué pa’siempre

Si se le hizo cierto que vos lo querías

Y que en tus pupilas iba él sólo a verse

Porque si jué ansina, cuando hasta su fosa

De tus risas locas los ecos le lleguen

Sentirá que el yelo de tu olvido infame

Más frío es que el yelo de la mesma muerte

Y sepa por boca de alguna luz mala

Que ya andás buscando que alguien te consuele

Pa' tenerlo’e Cristo como a él lo has tenido

Haciendo lo que hacen tuitas las mujeres…

Y al verse dentro’el hoyo, maniao y sin daga

Sin poder yamarte y anhelando al pepe

La luz de unos ojos pa’sus ojos ciegos

Y el calor de un seno pa’su helada frente

Sentirá la rabia, desatada y loca

Del bagual arisco sujeto al palenque

Cuando las cacharpas le aprietan el lomo

Y ni la manea, ni el bozal se ruempen

¡Óigale a la moza!, ¿Yoras porque el gaucho

Se fue pa’los pagos de ande no se güelve

Y has quedado solita, como oveja guacha

Que no tiene un perro que por ella vele?

No tengo, a tu pena, ni un poquito’e lástima

Siento las del pobre que se fue pa’siempre

Porque sé lo triste que es hallarse solo

Cuando se ha querido, como el gaucho quiere

Перевод песни

Écoute la fille !

Yoras parce que le gaucho

Il est parti pour les paiements d'où il ne revient pas

Et tu as été laissé seul comme un mouton

N'a-t-elle pas un chien pour veiller sur elle ?

Je ne ressens pas ton chagrin, qui doit être simulé

Je ressens les sentiments du gaucho qui a joué pour toujours

Si c'était vrai que tu le voulais

Et que dans tes pupilles il ne verrait que lui-même

Parce que si j'jouais anxieux, quand même sa tombe

De ton fou rire les échos lui parviennent

Il sentira que la jalousie de ton infâme oubli

Plus froid est que le voile de la mort elle-même

Et savoir par la bouche d'une mauvaise lumière

Que tu cherches déjà quelqu'un pour te réconforter

Avoir le Christ comme vous l'avez eu

Faire ce que tweetent les femmes...

Et quand il s'est vu dans le trou, maniao et sans poignard

Sans pouvoir t'aimer et avoir envie de Pepe

La lumière de certains yeux pour leurs yeux aveugles

Et la chaleur d'un sein pour son front glacé

Sentira la rage, déchaînée et folle

Du sujet bourru bagual au palenque

Quand les cacharpas lui serrent le dos

Et ni le manea, ni le museau ne se cassent

Ecoute la fille tu pries parce que le gaucho

Il est parti pour les paiements d'où il ne revient pas

Et tu es laissé seul, comme un mouton guacha

N'a-t-elle pas un chien pour veiller sur elle ?

Je n'ai pas, à ton grand regret, pas un peu de pitié

Je ressens les sentiments du pauvre homme qui est parti pour toujours

Parce que je sais à quel point c'est triste d'être seul

Quand tu as aimé, comme le veut le gaucho

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