Voici les paroles de la chanson : Лифт , artiste : Машина времени Avec traduction
Texte original avec traduction
Машина времени
Лифт идет почти бесшумно, он идет ужасно быстро,
От земли летит до неба и от неба до земли.
У него в пути бывают три-четыре остановки
И на каждой остановке он задержится на миг.
Как на первой остановке пахнет елкой новогодней
Дети водят хороводы и дерутся во дворе.
Пахнет радостью открытий, пахнет страхом наказаний,
Пахнет каплями от кашля, пахнет маминым пальто.
На второй этаж взлетаешь, без усилий, словно птица,
И твое предназначенье для тебя — как дважды два.
В голове вино и ветер, над тобой кружатся феи,
И хранит твоя подушка легкий запах их духов.
И ты еще глядишь на небо, где вчера кружили феи,
А они уже не феи — их делишки к сентябрю.
Пахнет сеном, а не маем, пахнет чьим-то урожаем,
У соседа снова праздник — вас впервые не зовут.
Дальше — все еще быстрее, впереди — этаж последний.
Пахнет пылью и больницей, и тоской, и тишиной.
Там неярко светит лампа там стоит ведро и швабра,
Танцовщицы сняли шали и с лица стирают грим.
L'ascenseur va presque sans bruit, ça va terriblement vite,
Il vole de la terre au ciel et du ciel à la terre.
Il a trois ou quatre arrêts en cours de route
Et à chaque arrêt, il s'attardera un instant.
Comment au premier arrêt ça sent le sapin de Noël
Les enfants mènent des danses rondes et se battent dans la cour.
Ça sent la joie de la découverte, ça sent la peur du châtiment,
Ça sent les pastilles contre la toux, ça sent le manteau de maman.
Tu décolles au deuxième étage, sans effort, comme un oiseau,
Et votre destin pour vous est comme deux et deux.
Il y a du vin et du vent dans ta tête, les fées tournent au-dessus de toi,
Et votre oreiller garde une légère odeur de leur parfum.
Et tu regardes toujours le ciel où les fées tournaient hier,
Et ce ne sont plus des fées - leurs affaires d'ici septembre.
Ça sent le foin, pas mai, ça sent la récolte de quelqu'un,
Le voisin a de nouveau des vacances - pour la première fois, vous n'êtes pas appelé.
Plus loin - encore plus vite, devant - le dernier étage.
Ça sent la poussière et l'hôpital, l'angoisse et le silence.
Là, la lampe brille faiblement, il y a un seau et une vadrouille,
Les danseurs ont enlevé leurs châles et se démaquillent le visage.
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