Ihr so nah - Versengold
С переводом

Ihr so nah - Versengold

Альбом
Hoerensagen
Год
2005
Язык
`Allemand`
Длительность
488480

Voici les paroles de la chanson : Ihr so nah , artiste : Versengold Avec traduction

Paroles : Ihr so nah "

Texte original avec traduction

Ihr so nah

Versengold

Оригинальный текст

Als ich Teil der Wälder war,

bar der Last und fern den Lügen

All dem Leid entflohen gar,

voll des Lebens, eins im Frieden

Ruhend denn in Nerthus Arm,

ohne Furcht im Sein geborgen

Trank das Erdenblut so warm,

lauschte Weltenfreud und Sorgen

War vereint mit Elfensang,

so vertraut er mir verbliebe

Stets umspielt vom Harfenklang

unsrer Erde, ihrer Liebe

Und ich wollte niemals mehr woanders sein

als ihr so nah

Und ich wollte niemals mehr in all den Schein,

der jeher da

Und ich wollte ewig seh’n, was sonst nicht mein,

was ich einst sah

Und ich wollte wieder ahnen,

dass ich alles bin und war

Als ich Teil der Meere war,

bar der Last und fern den Lügen

All dem Leid entflohen gar,

voll des Lebens, eins im Frieden

Sanfter Kraft und seelenstark,

stets bewegt und stets umtrieben

Kein Geheimnis sich verbarg,

keine Dunkelheit beschrieben

War so leicht und unbeschwert,

so vertieft und voller Segen

War vom Lebenslied belehrt,

überall und nie zugegen

Und ich wollte niemals mehr woanders sein

als ihr so nah

Und ich wollte niemals mehr in all den Schein,

der jeher da

Und ich wollte ewig seh’n, was sonst nicht mein,

was ich einst sah

Und ich wollte wieder ahnen, daß ich alles

bin und war

Als ich Teil der Flammen war,

bar der Last und fern den Lügen

All dem Leid entflohen gar,

voll des Lebens, eins im Frieden

Flammenreich genährte Wärme,

unbeherrscht in Leidenschaft

Lichter noch als Himmels Sterne

wachte ich in heller Kraft

War im Herz der Erdenlohe,

Herdes' Feuer Heimatstatt

All dem Sinnen, allzeit frohe,

stets verzehrend, niemals satt

Und ich wollte niemals mehr woanders sein

als ihr so nah

Und ich wollte niemals mehr in all den Schein,

der jeher da

Und ich wollte ewig seh’n, was sonst nicht mein,

was ich einst sah

Und ich wollte wieder ahnen,

daß ich alles bin und war

Als ich Teil der Winde war,

bar der Last und fern den Lügen

All dem Leid entflohen gar,

voll des Lebens, eins im Frieden

War der Atem aller Düfte,

stets verspielt und endlos frei

Ungehalten, Herr der Lüfte,

sehnsuchtsvoll und doch so scheu

War so müßig aller Fragen,

brauchte weder Ruh noch Rast

Hab die Ängste fortgetragen,

Stürmen gleich doch ohne Hast

Und ich wollte niemals mehr woanders sein

als ihr so nah

Und ich wollte niemals mehr in all den Schein,

der jeher da

Und ich wollte ewig seh’n, was sonst nicht mein,

was ich einst sah

Und ich wollte wieder ahnen, daß ich alles

bin und war

Перевод песни

Quand je faisais partie des bois

détendu et loin des mensonges

échappé à toutes les souffrances

plein de vie, un en paix

Reposant alors dans le bras de Nerthus,

sûr d'être sans peur

A bu le sang de la terre si chaud

écouté la joie et la peine du monde

Était uni à elfensang,

donc il me fait confiance reste

Toujours entouré par le son de la harpe

notre terre, son amour

Et je n'ai jamais voulu être ailleurs

qu'elle si proche

Et je n'ai jamais voulu revenir à toutes les apparitions

toujours là

Et j'ai toujours voulu voir ce qui n'était pas à moi

ce que j'ai vu une fois

Et je voulais encore deviner

que je suis et que j'étais tout

Quand je faisais partie des mers

détendu et loin des mensonges

échappé à toutes les souffrances

plein de vie, un en paix

Douce force et âme,

toujours en mouvement et toujours occupé

Aucun secret n'était caché

aucune obscurité décrite

Était si léger et insouciant

si profond et plein de bénédictions

A été enseigné par le chant de la vie,

partout et jamais présent

Et je n'ai jamais voulu être ailleurs

qu'elle si proche

Et je n'ai jamais voulu revenir à toutes les apparitions

toujours là

Et j'ai toujours voulu voir ce qui n'était pas à moi

ce que j'ai vu une fois

Et je voulais suspecter à nouveau que j'étais tout

suis et était

Quand je faisais partie des flammes

détendu et loin des mensonges

échappé à toutes les souffrances

plein de vie, un en paix

chaleur alimentée par la flamme,

incontrôlable dans la passion

S'illumine encore plus que les étoiles du ciel

Je me suis réveillé en pleine puissance

Était au cœur de l'incendie terrestre,

Feu de camp des Herdes

Tous les sens, toujours heureux,

toujours consommant, jamais satisfait

Et je n'ai jamais voulu être ailleurs

qu'elle si proche

Et je n'ai jamais voulu revenir à toutes les apparitions

toujours là

Et j'ai toujours voulu voir ce qui n'était pas à moi

ce que j'ai vu une fois

Et je voulais encore deviner

que je suis et que j'étais tout

Quand je faisais partie du vent

détendu et loin des mensonges

échappé à toutes les souffrances

plein de vie, un en paix

Était le souffle de tous les parfums

toujours ludique et infiniment gratuit

Indigné, seigneur des airs,

envie et pourtant si timide

Était si oisif de toutes les questions

besoin ni repos ni repos

emporté les peurs

Tempête tout de suite mais sans hâte

Et je n'ai jamais voulu être ailleurs

qu'elle si proche

Et je n'ai jamais voulu revenir à toutes les apparitions

toujours là

Et j'ai toujours voulu voir ce qui n'était pas à moi

ce que j'ai vu une fois

Et je voulais suspecter à nouveau que j'étais tout

suis et était

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