Agony Fires - Watain

Beyond god’s pestilent grace

Obscured by light his spawner dwells

Hidden but soon to be found

Beyond shrouds of fading life

All fires leave reeking ashes

Not only glow that shines

And the dawns you’ve blessed shall be cursed

A thousand times

Clean the mirrors from the dust of god

And nothing shall be there

For you are too weak to turn the key

Chained to life by fear

Oh, as solitude awakes

Razorsharp it shines

Reflections in your gazing eyes

For the first time burnt by sun

Each dawn rising in plagueous glory

And touching the withering ground

Shall feed your agony fires

For your truth has now been found

Feel the power

Bow down like the servant you are

For great evil flows through your shells

A fall from grace

Yet a rising in glorious ashes

The gate lies crushed

And the key to life has melted

A path will open

And wrath will enter

I rejoice in silence

Suffering is the key to the world of the beast

Au-delà de la grâce pestilentielle de Dieu

Obscurci par la lumière habite son géniteur

Caché mais bientôt trouvable

Au-delà des linceuls de la vie qui s'efface

Tous les incendies laissent des cendres puantes

Non seulement la lueur qui brille

Et les aurores que tu as bénies seront maudites

Un millier de fois

Nettoie les miroirs de la poussière de Dieu

Et rien ne sera là

Car tu es trop faible pour tourner la clé

Enchaîné à la vie par la peur

Oh, alors que la solitude se réveille

Ça brille comme un rasoir

Reflets dans tes yeux qui regardent

Pour la première fois brûlé par le soleil

Chaque aube se levant dans une gloire pestiférée

Et toucher le sol flétri

Alimentera tes feux d'agonie

Car ta vérité a maintenant été trouvée

Ressentez la puissance

Inclinez-vous comme le serviteur que vous êtes

Car un grand mal coule à travers vos coquilles

Une chute de grâce

Pourtant, une montée en cendres glorieuse

La porte est écrasée

Et la clé de la vie a fondu

Un chemin s'ouvrira

Et la colère entrera

Je me réjouis du silence

La souffrance est la clé du monde de la bête