Voici les paroles de la chanson : Ледовая разведка , artiste : Юрий Визбор Avec traduction
Texte original avec traduction
Юрий Визбор
Прощай, патруль!
Мне больше не скрипеть
В твоих унтах, кожанках, шлемах, брюках.
Закатный снег, как смерзшуюся медь,
Уж не рубить под самолетным брюхом.
Не прятать за спокойствием испуг,
Когда твой друг не прилетает снова,
Не почитать за самый сладкий звук
Унылый тон мотора поршневого.
Прощай, патруль!
Не помни про меня.
Ломать дрова умеем мы с размаху.
Я форменную куртку поменял
На фирменную, кажется, рубаху.
Прощайте, островов моих стада!
Я — женщиной поломаная ветка.
Прощайте, льдом помятые суда,
Прощай, моя ледовая разведка.
Не упрекни, не выскажись вослед,
Грехи пытаяясь умолить стихами,
Я спутал все — зимовье и балет,
И запах псов с французскими духами.
Прощай, патруль!
Во снах не посещай.
Беглец твой, право, памяти не стоит.
Залезу в гроб гражданского плаща
И пропаду в пустынях новостроек.
А душу разорвет мне не кларнет,
Не творчество поэта острового,
А нота, долетевшая ко мне
От авиамотора поршневого.
Adieu patrouille !
je ne craque plus
Dans vos bottes hautes, vestes en cuir, casques, pantalons.
La neige du couchant, comme du cuivre gelé,
Plus de piratage sous le ventre d'un avion.
Ne cachez pas la peur derrière le calme,
Quand ton ami ne revient pas,
Ne lisez pas pour le son le plus doux
Le son sourd d'un moteur à pistons.
Adieu patrouille !
Ne me souviens pas.
Nous savons comment casser du bois de chauffage à grande échelle.
J'ai changé ma veste d'uniforme
Sur une chemise de marque, semble-t-il.
Adieu, îles de mon troupeau !
Je suis une branche brisée d'une femme.
Adieu, navires froissés par la glace,
Adieu, ma reconnaissance des glaces.
Ne fais pas de reproches, ne parle pas après,
Les péchés essayant de plaider avec des versets,
J'ai tout confondu - cabane d'hiver et ballet,
Et l'odeur des chiens au parfum français.
Adieu patrouille !
Ne visitez pas dans les rêves.
Votre fugitif, vraiment, ne vaut pas la peine d'être rappelé.
Je monterai dans le cercueil d'un manteau civil
Et je disparaîtrai dans les déserts des nouvelles constructions.
Et ce n'est pas la clarinette qui brisera mon âme,
Pas l'œuvre d'un poète insulaire,
Et la note qui s'est envolée vers moi
D'un moteur d'avion à pistons.
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