Voici les paroles de la chanson : Пригородный блюз , artiste : Зоопарк Avec traduction
Texte original avec traduction
Зоопарк
Вера спит на чердаке, хотя орет магнитофон,
Ее давно пора будить, но это будет моветон.
Дождь идет второй день, нужно спать, но спать лень,
Хочется курить, но не осталось папирос.
Я боюсь спать, наверно, я — трус.
Денег нет, зато есть пригородный блюз.
Какя-то мадам звонит мне третий раз.
Он нее меня тошнит, тошнит уже не первый час.
Я отвечаю: «Ненавижу, не люблю и не хочу!»
Я говорю: «Меня здесь нет — я давно ушел к врачу!»
Разбиваю телефон, иду пить самогон.
Хочется курить, но не осталось папирос.
Я боюсь пить, наверно, я — трус.
Денег нет, зато есть пригородный блюз.
Часы пробили ровно одиннадцать часов.
Венечка взял сумку с тарой и — без лишних слов
Одел мой старый макинтош, и тотчас был таков.
Вера слезла с чердака, чтоб сварить нам плов.
Двадцать лет — как бред, двадцать бед — один ответ.
Хочется курить, но не осталось папирос.
Я боюсь жить, наверно, я — трус.
Денег нет, зато есть пригородный блюз.
Vera dort dans le grenier, bien que le magnétophone crie,
Il est grand temps de la réveiller, mais ce serait de mauvaises manières.
Il pleut pour le deuxième jour, j'ai besoin de dormir, mais j'ai la flemme de dormir,
Je veux fumer, mais il n'y a plus de cigarettes.
J'ai peur de dormir, je suis probablement un lâche.
Pas d'argent, mais il y a le blues des banlieues.
Une madame m'appelle pour la troisième fois.
Ça me rend malade, ça fait plus d'une heure que ça fait mal.
Je réponds : "Je déteste, je n'aime pas et je ne veux pas !"
Je dis: "Je ne suis pas là - je suis allé chez le médecin il y a longtemps!"
Je casse le téléphone, je vais boire du clair de lune.
Je veux fumer, mais il n'y a plus de cigarettes.
J'ai peur de boire, je suis probablement un lâche.
Pas d'argent, mais il y a le blues des banlieues.
L'horloge sonna onze heures précises.
Venechka a pris un sac avec des conteneurs et - sans plus tarder
Il a mis mon vieux mackintosh, et il a tout de suite été comme ça.
Vera est descendue du grenier pour nous cuisiner du pilaf.
Vingt ans - comme des bêtises, vingt ennuis - une réponse.
Je veux fumer, mais il n'y a plus de cigarettes.
J'ai peur de vivre, je suis probablement un lâche.
Pas d'argent, mais il y a le blues des banlieues.
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