On the Decline of Oracles - Sylvia Plath
С переводом

On the Decline of Oracles - Sylvia Plath

  • Année de sortie: 1958
  • Langue: Anglais
  • Durée: 2:34

Voici les paroles de la chanson : On the Decline of Oracles , artiste : Sylvia Plath Avec traduction

Paroles : On the Decline of Oracles "

Texte original avec traduction

On the Decline of Oracles

Sylvia Plath

Оригинальный текст

My father kept a vaulted conch

By two bronze bookends of ships in sail,

And as I listened its cold teeth seethed

With voices of that ambiguous sea

Old Böcklin missed, who held a shell

To hear the sea he could not hear.

What the seashell spoke to his inner ear

He knew, but no peasants know.

My father died, and when he died

He willed his books and shell away.

The books burned up, sea took the shell,

But I, I keep the voices he

Set in my ear, and in my eye

The sight of those blue, unseen waves

For which the ghost of Böcklin grieves.

The peasants feast and multiply.

Eclipsing the spitted ox I see

Neither brazen swan nor burning star,

Heraldry of a starker age,

But three men entering the yard,

And those men coming up the stair.

Profitless, their gossiping images

Invade the cloistral eye like pages

From a gross comic strip, and toward

The happening of this happening

The earth turns now.

In half an hour

I shall go down the shabby stair and meet,

Coming up, those three.

Worth

Less than present, past — this future.

Worthless such vision to eyes gone dull

That once descried Troy’s towers fall,

Saw evil break out of the north.

Перевод песни

Mon père gardait une conque voûtée

Par deux serre-livres en bronze de navires à voile,

Et tandis que j'écoutais ses dents froides bouillonnaient

Avec les voix de cette mer ambiguë

Le vieux Böcklin a raté, qui tenait un obus

Entendre la mer qu'il ne pouvait pas entendre.

Ce que le coquillage a dit à son oreille interne

Il savait, mais aucun paysan ne le sait.

Mon père est mort, et quand il est mort

Il vola ses livres et ses coquillages.

Les livres ont brûlé, la mer a pris le coquillage,

Mais moi, je garde les voix qu'il

Situé dans mon oreille et dans mes yeux

La vue de ces vagues bleues invisibles

Dont le fantôme de Böcklin pleure.

Les paysans festoient et se multiplient.

Éclipsant le bœuf craché, je vois

Ni cygne d'airain ni étoile brûlante,

Héraldique d'un âge plus austère,

Mais trois hommes entrant dans la cour,

Et ces hommes qui montent l'escalier.

Sans profit, leurs images bavardes

Envahir l'oeil cloîtré comme des pages

D'une bande dessinée grossière, et vers

L'événement de cet événement

La terre tourne maintenant.

Dans une demi-heure

Je vais descendre l'escalier miteux et rencontrer,

À venir, ces trois-là.

La peine

Moins que présent, passé - ce futur.

Une telle vision sans valeur pour les yeux devenus ternes

Qui a vu une fois tomber les tours de Troie,

J'ai vu le mal sortir du nord.

Plus de 2 millions de paroles

Chansons en différentes langues

Traductions

Traductions de haute qualité dans toutes les langues

Recherche rapide

Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes