On the Difficulty of Conjuring Up a Dryad - Sylvia Plath
С переводом

On the Difficulty of Conjuring Up a Dryad - Sylvia Plath

  • Année de sortie: 1958
  • Langue: Anglais
  • Durée: 1:59

Voici les paroles de la chanson : On the Difficulty of Conjuring Up a Dryad , artiste : Sylvia Plath Avec traduction

Paroles : On the Difficulty of Conjuring Up a Dryad "

Texte original avec traduction

On the Difficulty of Conjuring Up a Dryad

Sylvia Plath

Оригинальный текст

Ravening through the persistent bric-à-brac

Of blunt pencils, rose-sprigged coffee cup,

Postage stamps, stacked books' clamor and yawp,

Neighborhood cockcrow — all nature’s prodigal backtalk,

The vaunting mind

Snubs impromptu spiels of wind

And wrestles to impose

Its own order on what is.

'With my fantasy alone,' brags the importunate head,

Arrogant among rook-tongued spaces,

Sheep greens, finned falls, 'I shall compose a crisis

To stun sky black out, drive gibbering mad

Trout, cock, ram,

That bulk so calm

On my jealous stare,

Self-sufficient as they are.'

But no hocus-pocus of green angels

Damasks with dazzle the threadbare eye;

'My trouble, doctor, is: I see a tree,

And that damn scrupulous tree won’t practice wiles

To beguile sight:

E.g., by cant of light

Concoct a Daphne;

My tree stays tree.

'However I wrench obstinate bark and trunk

To my sweet will, no luminous shape

Steps out radiant in limb, eye, lip,

To hoodwink the honest earth which pointblank

Spurns such fiction

As nymphs;

cold vision

Will have no counterfeit

Palmed off on it.

'No doubt now in dream-propertied rail some moon-eyed,

Star-lucky sleight-of-hand man watches

My jilting lady squander coin, gold leaf stock ditches,

And the opulent air go studded with seed,

While this beggared brain

Hatches no fortune,

But from leaf, from grass,

Thieves what it has.'

Перевод песни

Ravage à travers le bric-à-brac persistant

De crayons émoussés, tasse de café à tiges de rose,

Timbres-poste, clameurs et bâillements de livres empilés,

Le chant du coq du quartier - toutes les paroles prodigues de la nature,

L'esprit vantard

Snubs les spiels de vent impromptus

Et se bat pour s'imposer

Son propre ordre sur ce qui est.

'Avec mon seul fantasme,' se vante le chef importun,

Arrogant parmi les espaces à langue de tour,

Feuilles de mouton, chutes à nageoires, 'Je composerai une crise

Pour étourdir le ciel noir, rendre fou le baragouin

Truite, coq, bélier,

Ce volume si calme

Sur mon regard jaloux,

Autosuffisants comme ils le sont.

Mais pas de tour de passe-passe d'anges verts

Les damas éblouissent l'œil élimé ;

"Mon problème, docteur, c'est : je vois un arbre,

Et ce putain d'arbre scrupuleux ne pratiquera pas de ruses

Pour tromper la vue :

Par exemple, par inclinaison de la lumière

Concocter une Daphné ;

Mon arbre reste un arbre.

'Cependant je déchire l'écorce et le tronc obstinés

À ma douce volonté, pas de forme lumineuse

Sort radieux des membres, des yeux, des lèvres,

Pour tromper la terre honnête qui pointe à bout portant

Dédaigne une telle fiction

Comme nymphes ;

vision froide

N'aura aucune contrefaçon

Palmer dessus.

'Sans aucun doute maintenant dans un chemin de fer de rêve, des yeux de lune,

Montres homme star-lucky tour de passe-passe

Ma dame jilting gaspille des pièces de monnaie, des fossés de stock de feuilles d'or,

Et l'air opulent est parsemé de graines,

Pendant que ce cerveau mendiant

N'éclose aucune fortune,

Mais de la feuille, de l'herbe,

Voleurs ce qu'il a.

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