Voici les paroles de la chanson : The Holy Sonnets of John Donne, Op. 35: Sonnet XVII: Since she whom I lov'd , artiste : Steuart Bedford, Philip Langridge, Бенджамин Бриттен Avec traduction
Texte original avec traduction
Steuart Bedford, Philip Langridge, Бенджамин Бриттен
Since she whom I lov’d hath pay’d her last debt
To Nature, and to hers, and my good is dead,
And her Soule early into Heaven ravished,
Wholly on heavenly things my mind is sett.
Here the admyring her my mind did whett
To seeke thee God;
so streams do shew their head;
But though I have found thee and thou my thirst hast fed,
A holy thirsty dropsy melts mee yett,
But why should I begg more love, when as thou
Dost wooe my soul for hers: off’ring all thine:
And dost not only feare lest I allow
My love to Saints and Angels, things divine,
But in thy tender jealousy dost doubt
1, yea, Devill putt thee out.
Depuis que celle que j'aimais a payé sa dernière dette
À la Nature, et à la sienne, et mon bien est mort,
Et son âme de bonne heure au ciel ravie,
Entièrement sur les choses célestes, mon esprit est fixé.
Ici, l'admirant, mon esprit a aiguisé
Pour te chercher Dieu ;
alors les ruisseaux montrent leur tête ;
Mais bien que je t'aie trouvé et que tu aies nourri ma soif,
Une hydropisie assoiffée me fait encore fondre,
Mais pourquoi devrais-je mendier plus d'amour, alors que toi
Courtisez mon âme pour la sienne : offrez-moi tout :
Et non seulement craignez-vous que je permette
Mon amour pour les saints et les anges, choses divines,
Mais dans ta tendre jalousie tu doutes
1, oui, Devill te met dehors.
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