Lashed by Storm - Fen

Flayed by the driving rain, of black clouds scud across the sky

The world roars with rage and the very ground trembles

I watch as lightening spears the darkness

The stark outline of the trees stripped bare by winters ravaging chill

Wind screams, cutting the knives of sharpened frost

As I raise my arms to embrace the assault

All that lives cowers in the shadow of elemental wrath

Yet I stand and roar my challenge to the maelstrom

Mountains rear in the darkness

Colossal megaliths of malediction’s promise

Looming, immense, all knowing

Stoic against the fury of the storm

The raging tempest shrieks of hatred

Bunched clouds toil with the need to destroy

But I will remain unmoved in the face of the assault

I welcome the pain of nature’s vengeance

Eyes clenched shut

The freezing wind and stinging waters

Fear my skin and slake the thirst in my yearning soul

Never have I felt so alive

Every nerve tingles, every sense razor-keen

This frail, thin, stooped prison of flesh

Punished and invigorated

Crushed into the sodden earth

And therein will remain forever

Écorché par la pluie battante, des nuages ​​noirs traversent le ciel

Le monde rugit de rage et le sol même tremble

Je regarde comme la foudre perce les ténèbres

La silhouette austère des arbres mis à nu par le froid ravageur des hivers

Le vent crie, coupant les couteaux du givre aiguisé

Alors que je lève les bras pour embrasser l'assaut

Tout ce qui vit se recroqueville dans l'ombre de la colère élémentaire

Pourtant, je me lève et rugis mon défi au maelström

Les montagnes se dressent dans l'obscurité

Mégalithes colossaux de la promesse de la malédiction

Apparaissant, immense, sachant tout

Stoïque contre la fureur de la tempête

La tempête déchaînée hurle de haine

Les nuages ​​groupés peinent avec le besoin de détruire

Mais je resterai impassible face à l'agression

J'accueille la douleur de la vengeance de la nature

Les yeux fermés

Le vent glacial et les eaux piquantes

Craignez ma peau et étanchez la soif de mon âme ardente

Je ne me suis jamais senti aussi vivant

Chaque nerf vibre, chaque sens aiguisé comme un rasoir

Cette prison de chair frêle, mince et voûtée

Puni et revigoré

Écrasé dans la terre détrempée

Et y restera pour toujours