Addio - Francesco Guccini
С переводом

Addio - Francesco Guccini

  • Альбом: The Platinum Collection

  • Année de sortie: 2005
  • Langue: italien
  • Durée: 4:07

Voici les paroles de la chanson : Addio , artiste : Francesco Guccini Avec traduction

Paroles : Addio "

Texte original avec traduction

Addio

Francesco Guccini

Оригинальный текст

Nell’anno Novantanove di nostra vita

Io, Francesco Guccini, eterno studente

Perché la materia di studio sarebbe infinita

E soprattutto perché so di non sapere niente

Io, chierico vagante, bandito di strada

Io, non artista, solo piccolo baccelliere

Perché, per colpa d’altri, vada come vada

A volte mi vergogno di fare il mio mestiere

Io dico addio a tutte le vostre cazzate infinite

A riflettori e paillette delle televisioni

Alle urla scomposte di politicanti professionisti

A quelle vostre glorie vuote da coglioni…

E dico addio al mondo inventato del villaggio globale

Alle diete per mantenersi in forma smagliante

A chi parla sempre di un futuro trionfale

E ad ogni impresa di questo secolo trionfante

Alle magie di moda delle religioni orientali

Che da noi nascondono soltanto vuoti di pensiero

Ai personaggi cicaleggianti dei talk-show

Che squittiscono ad ogni ora un nuovo «vero»

Alle futilità pettegole sui calciatori miliardari

Alle loro modelle senza umanità

Alle sempiterne belle in gara sui calendari

A chi dimentica o ignora l’umiltà…

Io, figlio d’una casalinga e di un impiegato

Cresciuto fra i saggi ignoranti di montagna

Che sapevano Dante a memoria e improvvisavano di poesia

Io, tirato su a castagne ed ad erba spagna

Io, sempre un momento fa, campagnolo inurbato

Due soldi d’elementari ed uno d’università

Ma sempre il pensiero a quel paese mai scordato

Dove ritrovo anche oggi quattro soldi di civiltà…

Io dico addio a chi si nasconde con protervia dietro a un dito

A chi non sceglie, non prende parte, non si sbilancia

O sceglie a caso per i tiramenti del momento

Curando però sempre di riempirsi la pancia

E dico addio alle commedie tragiche dei sepolcri imbiancati

Ai ceroni ed ai parrucchini per signore

Alle lampade e tinture degli eterni non invecchiati

Al mondo fatto di ruffiani e di puttane a ore

A chi si dichiara di sinistra e democratico

Però è amico di tutti perché non si sa mai

E poi anche chi è di destra ha i suoi pregi e gli è simpatico

Ed è anche fondamentalista per evitare guai

A questo orizzonte di affaristi e d’imbroglioni

Fatto di nebbia, pieno di sembrare

Ricolmo di nani, ballerine e canzoni

Di lotterie, l’unica fede il cui sperare…

Nell’anno Novantanove di nostra vita

Io, giullare da niente, ma indignato

Anch’io qui canto con parola sfinita

Con un ruggito che diventa belato

Ma a te dedico queste parole da poco

Che sottendono solo un vizio antico

Sperando però che tu non le prenda come un gioco

Tu, ipocrita uditore, mio simile…

Mio amico…

Перевод песни

Dans la quatre-vingt-dix-neuf année de notre vie

Moi, Francesco Guccini, un éternel étudiant

Parce que le sujet d'étude serait infini

Et surtout parce que je sais que je ne sais rien

Moi, un clerc errant, un bandit de grand chemin

Moi, pas un artiste, juste un petit célibataire

Parce que, par la faute des autres, ça va comme ça va

Parfois j'ai honte de faire mon travail

Je dis au revoir à toutes tes conneries sans fin

Un projecteur et paillettes de téléviseurs

Aux cris brisés des politiciens professionnels

A ces vaines gloires qui sont les vôtres...

Et je dis adieu au monde inventé du village global

Aux régimes pour rester en pleine forme

A ceux qui parlent toujours d'un futur triomphal

Et à chaque entreprise de ce siècle triomphant

A la magie de la mode des religions orientales

Qui ne nous cachent que des pensées vides

Aux personnages bavards des talk-shows

Qui grincent un nouveau "vrai" toutes les heures

À la futilité des commérages sur les footballeurs milliardaires

A leurs modèles sans humanité

Aux belles filles éternelles en compétition sur les calendriers

A ceux qui oublient ou ignorent l'humilité...

Moi, le fils d'une femme au foyer et d'un employé

Élevé parmi les sages ignorants de la montagne

Qui connaissait Dante par cœur et la poésie improvisée

Moi, élevé aux châtaignes et à l'herbe d'Espagne

Moi, il y a toujours un instant, un agriculteur urbanisé

Deux sous pour le primaire et un pour l'université

Mais toujours la pensée de ce pays jamais oublié

Où je trouve encore aujourd'hui quatre sous de civilisation...

Je dis au revoir à celui qui se cache avec arrogance derrière un doigt

Ceux qui ne choisissent pas, ne participent pas, ne perdent pas l'équilibre

Ou il choisit au hasard pour les tirages du moment

Mais toujours en prenant soin de remplir ton ventre

Et je dis adieu aux comédies tragiques des tombeaux blanchis à la chaux

Pour graisser et perruques de dames

Aux lampes et aux teintures des éternels non vieillis

Au monde fait de macs et de putes à l'heure

A ceux qui se déclarent de gauche et démocrates

Mais il est l'ami de tout le monde parce qu'on ne sait jamais

Et puis même ceux de droite ont leurs mérites et ils les aiment

Et c'est aussi un intégriste pour éviter les ennuis

A cet horizon d'hommes d'affaires et de tricheurs

Fait de brouillard, plein d'apparence

Rempli de nains, de danseurs et de chansons

Des loteries, la seule foi à espérer...

Dans la quatre-vingt-dix-neuf année de notre vie

Moi, pas farceur, mais indigné

Ici aussi, je chante avec un mot épuisé

Avec un rugissement qui devient bêlement

Mais je t'ai récemment dédié ces mots

Qui n'impliquent qu'un ancien vice

Mais en espérant que tu ne les prennes pas comme un jeu

Toi, auditeur hypocrite, mon prochain...

Mon ami…

Plus de 2 millions de paroles

Chansons en différentes langues

Traductions

Traductions de haute qualité dans toutes les langues

Recherche rapide

Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes