Voici les paroles de la chanson : Canzone Delle Osterie Di Fuori Porta , artiste : Francesco Guccini Avec traduction
Texte original avec traduction
Francesco Guccini
Sono ancora aperte come un tempo le osterie di fuori porta,
ma la gente che ci andava a bere fuori o dentro?
tutta morta:
qualcuno?
andato per et?, qualcuno perch?
gi?
dottore
e insegue una maturit?, si?
sposato, fa carriera ed?
una morte un po'
peggiore…
Cadon come foglie o gli ubriachi sulle strade che hanno scelto,
delle rabbie antiche non rimane che una frase o qualche gesto,
non so se scusano il passato per giovinezza o per errore,
non so se ancora desto in loro, se m' incontrano per forza, la curiosit?
o il timore…
Io ora mi alzo tardi tutti i giorni, tiro sempre a far mattino,
le carte poi il caff?
della stazione per neutralizzare il vino,
ma non ho scuse da portare, non dico pi?
d’esser poeta,
non ho utopie da realizzare: stare a letto il giorno dopo?
forse l’unica mia
meta…
Si alza sempre lenta come un tempo l’alba magica in collina,
ma non provo pi?
quando la guardo quello che provavo prima.
Ladri e profeti di futuro mi hanno portato via parecchio,
il giorno?
sempre un po' pi?
oscuro, sar?
forse perch??
storia, sar?
forse perch?
invecchio…
Ma le strade sono piene di una rabbia che ogni giorno urla pi?
forte,
son caduti i fiori e hanno lasciato solo simboli di morte.
Dimmi se son da lapidare se mi nascondo sempre pi?,
ma ognuno ha la sua pietra pronta e la prima, non negare, me la tireresti tu…
Sono pi?
famoso che in quel tempo quando tu mi conoscevi,
non pi?
amici, ho un pubblico che ascolta le canzoni in cui credevi
e forse ridono di me, ma in fondo ho la coscienza pura,
non rider tu se dico questo, ride chi ha nel cuore l’odio e nella mente la paura…
Ma non devi credere che questo abbia cambiato la mia vita,
?
una cosa piccola di ieri che domani?
gi?
finita.
Son sempre qui a vivermi addosso, ho dai miei giorni quanto basta,
ho dalla gloria quel che posso, cio?
qualcosa che andr?
presto, quasi come i soldi in tasca…
Non lo crederesti ho quasi chiuso tutti gli usci all’avventura,
non perch?
metter?
la testa a posto, ma per noia o per paura.
Non passo notti disperate su quel che ho fatto o quel che ho avuto:
le cose andate sono andate ed ho per unico rimorso le occasioni che ho perduto.
Sono ancora aperte come un tempo le osterie di fuori porta,
ma la gente che ci andava a bere fuori o dentro?
tutta morta:
qualcuno?
andato per formarsi, chi per seguire la ragione,
chi perch?
stanco di giocare, bere il vino, sputtanarsi ed?
una morte un po'
peggiore…
Les tavernes à l'extérieur de la ville sont toujours ouvertes comme par le passé,
mais les gens qui y allaient boire à l'extérieur ou à l'intérieur ?
tous morts:
quelqu'un?
allé pour l'âge?, quelqu'un pourquoi?
déjà
docteur
et poursuit une maturité, oui ?
marié, fait carrière et?
un peu mort
pire…
Tombent comme des feuilles ou des ivrognes dans les rues qu'ils choisissent,
des rages antiques il ne reste qu'une phrase ou un geste,
Je ne sais pas s'ils excusent le passé pour la jeunesse ou pour l'erreur,
Je ne sais pas si je suis encore éveillé en eux, s'ils me rencontrent de force, par curiosité ?
ou la peur...
Maintenant je me lève tard tous les jours, j'essaie toujours de faire le matin,
les cartes puis le café ?
de la station pour neutraliser le vin,
mais je n'ai pas d'excuses à apporter, je n'en dis pas plus ?
être poète,
Je n'ai pas d'utopies à réaliser : rester au lit le lendemain ?
peut-être mon seul
une moitié…
L'aube magique dans les collines se lève toujours lentement comme par le passé,
mais je n'essaie plus?
quand je le regarde ce que je ressentais avant.
Les voleurs et les futurs prophètes m'ont beaucoup pris,
le jour?
toujours un peu plus ?
sombre, sera-ce?
peut-être pourquoi?
l'histoire, sar?
peut-être pourquoi?
Je me fais vieux ...
Mais les rues sont pleines d'une rage qui hurle chaque jour davantage ?
fort,
les fleurs sont tombées et n'ont laissé que des symboles de la mort.
Dites-moi s'ils doivent être lapidés si je me cache de plus en plus ?
mais chacun a sa pierre prête et la première, ne le nie pas, tu me la jetterais dessus...
Ils sont plus ?
célèbre qu'à l'époque où tu me connaissais,
Pas plus?
amis, j'ai un public qui écoute les chansons auxquelles tu croyais
et peut-être qu'ils se moquent de moi, mais au fond j'ai la conscience tranquille,
ne riez pas si je dis cela, ceux qui ont la haine dans le cœur et la peur dans l'esprit rient...
Mais tu n'as pas à croire que ça a changé ma vie,
?
une petite chose hier que demain?
déjà
terminé.
Je suis toujours là pour vivre de moi, j'en ai assez de mes jours,
J'ai de la gloire ce que je peux, c'est-à-dire ?
quelque chose qui ira?
bientôt, presque comme de l'argent de poche...
Tu ne croirais pas que j'ai presque fermé toutes les portes de l'aventure,
pas pourquoi ?
mettre?
la tête dans l'ordre, mais par ennui ou par peur.
Je ne passe pas de nuits désespérées sur ce que j'ai fait ou ce que j'ai eu :
les choses sont parties et j'ai le seul remords des opportunités que j'ai perdues.
Les tavernes à l'extérieur de la ville sont toujours ouvertes comme par le passé,
mais les gens qui y allaient boire à l'extérieur ou à l'intérieur ?
tous morts:
quelqu'un?
allé se former, qui pour suivre la raison,
qui Pourquoi?
fatigué de jouer, de boire du vin, de se faire foutre et?
un peu mort
pire…
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