L'Atomica Cinese - Francesco Guccini, I Nomadi
С переводом

L'Atomica Cinese - Francesco Guccini, I Nomadi

  • Альбом: Album Concerto

  • Année de sortie: 2006
  • Langue: italien
  • Durée: 3:02

Voici les paroles de la chanson : L'Atomica Cinese , artiste : Francesco Guccini, I Nomadi Avec traduction

Paroles : L'Atomica Cinese "

Texte original avec traduction

L'Atomica Cinese

Francesco Guccini, I Nomadi

Оригинальный текст

Si è levata dai deserti, in Mongolia occidentale

Una nuvola di morte, una nuvola spettrale che va, che va, che va

Sopra i campi della Cina, sopra al tempio e alla risaia

Oltrepassa il fiume giallo, oltrepassa la muraglia e va, e va, e va

Sopra al bufalo che rumina

Su una civiltà di secoli

Sopra le bandiere rosse

Sui ritratti dei profeti

Sui ritratti dei signori

Sopra le tombe impassibili degli antichi imperatori

Sta coprendo un continente, sta correndo verso il mare

Copre il cielo fino al punto dove l’occhio può guardare e va, e va, e va

Sopra il volo dei gabbiani che precipitano in acqua

Sopra ai pesci che galleggiano e ricoprono la spiaggia e va, e va, e va

Alzan gli occhi i pescatori verso il cielo così livido

Le onde sembra che si fermino

Non si sente che il silenzio

E le reti sono piene di cadaveri d’argento

Poi le nuvole si rompono e la pioggia lenta cade

Sopra i tetti delle case, sulle pietre delle strade

Sopra gli alberi che muoiono, sopra i campi che si seccano

Sopra ai cuccioli degli uomini, sulle mandrie che la bevono

Sulle spiagge abbandonate, una pioggia che è veleno

E che uccide lentamente, pioggia senza arcobaleno

Che va, che va, che va, che va, che va!

Перевод песни

Il est passé des déserts de l'ouest de la Mongolie

Un nuage de mort, un nuage fantomatique qui va, va, va

Au-dessus des champs de Chine, au-dessus du temple et de la rizière

Traverse le fleuve jaune, traverse le mur et va, et va, et va

Au-dessus du buffle qui rumine

Sur une civilisation des siècles

Au-dessus des drapeaux rouges

Sur les portraits des prophètes

Sur les portraits des messieurs

Au-dessus des tombes impassibles des anciens empereurs

Il couvre un continent, il court vers la mer

Il couvre le ciel au point où l'œil peut regarder et aller, et aller, et aller

Au-dessus du vol des mouettes tombant à l'eau

Au-dessus des poissons qui flottent et couvrent la plage et s'en vont, et s'en vont, et s'en vont

Les pêcheurs lèvent les yeux vers le ciel si livides

Les vagues semblent s'arrêter

On n'entend que le silence

Et les filets sont pleins de cadavres d'argent

Puis les nuages ​​se brisent et la lente pluie tombe

Au-dessus des toits des maisons, sur les pierres des rues

Au-dessus des arbres mourants, au-dessus des champs flétris

Au-dessus des chiots des hommes, sur les troupeaux qui le boivent

Sur les plages abandonnées, une pluie empoisonnée

Et ça tue lentement, pluie sans arc-en-ciel

Ce qui va, ce qui va, ce qui va, ce qui va, ce qui va !

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