Voici les paroles de la chanson : Кубанская казачья , artiste : Александр Розенбаум Avec traduction
Texte original avec traduction
Александр Розенбаум
К дому путь-дороженька далека,
Да трёхрядка рвёт меха, ох, лиха!
С песнями да гиканьем, с шашками да пиками
Едут, едут кубанцы по верхам.
С песнями да гиканьем, с шашками да пиками
Едут, едут кубанцы по верхам.
Там, где дурью мается меньший брат,
Зреет, наливается виноград.
За плетнями-тынами дядьки чарки сдвинули -
Ждут батьки родимые в дом солдат.
Всё ближе, ближе к дому казаки, уже знакомый ветер у щеки.
И, подбоченясь, сотник выскочил в галоп: давно отца не видывал малой.
Бабы наряжаются, борщ кипит,
Гуси, утки жарятся - дух в степи.
Псы с цепей срываются, как старухи, лаются,
А лошади брыкаются у реки.
Девка ошалелая - шасть в сундук,
Тащит платье белое - может... вдруг...
Не мытьём - так катаньем повезёт с солдатом ей,
Может быть, посватает милый друг.
Всё ближе, ближе к дому казаки, уже знакомый ветер у щеки.
И, подбоченясь, сотник выскочил в галоп: давно отца не видывал малой.
Эх, встречай, околица, эскадрон.
Разливай, гармоница, едем в дом
Да по главной улице люд от солнца щурится,
Разбегайтесь, курицы, зашибём!
Вся станица в празднике: дождались!
Где?
Какая разница?
Веселись!
Девка в белом платьице - парень, знать, потратится,
Взглядом, вишь, как ластится... Не журись.
На колья растащили весь плетень,
То казачки гуляют третий день.
Такая доля - то встречать, то провожать
Своих сынов границы защищать.
К дому путь-дороженька далека,
Да трёхрядка рвёт меха, ох, лиха!
С песнями да гиканьем, с шашками да пиками
Едут, едут кубанцы по верхам.
Le chemin de la maison est loin,
Oui, les fourrures à trois rangs, oh, fringantes!
Avec des chansons et des whoops, avec des brouillons et des piques
Ils vont, vont Kuban sur les sommets.
Avec des chansons et des whoops, avec des brouillons et des piques
Ils vont, vont Kuban sur les sommets.
Où le petit frère est fou,
Il mûrit, les raisins sont versés.
Derrière les clôtures d'acacia, les oncles déplaçaient les tasses -
Les pères attendent les soldats dans la maison.
Plus près, plus près de chez eux, les Cosaques, le vent déjà familier sur la joue.
Et, levant les hanches, le centurion se mit au galop : il y avait longtemps qu'il n'avait pas vu son père.
Les femmes s'habillent, le bortsch bout,
Oies, canards rôtissent - l'esprit est dans la steppe.
Les chiens rompent leurs chaînes comme les vieilles femmes aboient,
Et les chevaux tapent au bord de la rivière.
Fille folle - va à la poitrine,
Il traîne une robe blanche - peut-être ... tout d'un coup ...
Pas en se lavant - donc en patinant, elle aura de la chance avec un soldat,
Peut-être qu'un ami cher vous demandera.
Plus près, plus près de chez eux, les Cosaques, le vent déjà familier sur la joue.
Et, levant les hanches, le centurion se mit au galop : il y avait longtemps qu'il n'avait pas vu son père.
Eh, rendez-vous, périphérie, escadron.
Déversement, harmonie, allons à la maison
Oui, le long de la rue principale, les gens louchent du soleil,
Fuyez, poulets, tuons !
Tout le village est en fête : attendez !
Où?
On s'en fout?
S'amuser un peu!
Une fille en robe blanche - un gars, tu sais, va dépenser de l'argent,
D'un coup d'oeil, on voit à quel point ça faiblit... Ne grondez pas.
Toute la clôture d'acacia a été tirée en pieux,
Que les cosaques marchent le troisième jour.
Un tel partage - puis rencontrez, puis voyez
Protégez les frontières de vos fils.
Le chemin de la maison est loin,
Oui, les fourrures à trois rangs, oh, fringantes!
Avec des chansons et des whoops, avec des brouillons et des piques
Ils vont, vont Kuban sur les sommets.
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes