Voici les paroles de la chanson : The Dream , artiste : Ketil Bjørnstad Avec traduction
Texte original avec traduction
Ketil Bjørnstad
Image of her whom I love, more than she,
Whose fair impression in my faithful heart,
Makes me her medal, and makes her love me,
As kings do coins, to which their stamps impart
The value: go, and take my heart from hence,
Which now is grown too great and good for me:
Honours oppress weak spirits, and our sense
Strong objects dull;
the more, the less we see.
When you are gone, and reason gone with you,
Then fantasy is queen and soul, and all;
She can present joys meaner than you do;
Convenient, and more proportional.
So, if I dream I have you, I have you,
For, all our joys are but fantastical.
And so I 'scape the pain, for pain is true;
And sleep which locks ups sense, doth lock out all.
After a such friction I shall wake,
And, but the waking, nothing shall repent;
And shall to love more thankful sonnets make,
Than if more honour, tears, and pains were spent.
Bur dearest heart, and dearer image stay;
Alas, true joys at best are dream enough;
Though you stay here you pass too fast away:
For even at first life’s taper is a snuff.
Filled with here love, may I be rather grown
Mad with much heart, than idiot with none.
Image de celle que j'aime, plus qu'elle,
Dont la belle impression dans mon cœur fidèle,
Fait de moi sa médaille, et fait qu'elle m'aime,
Comme les rois font les pièces de monnaie, auxquelles leurs timbres donnent
La valeur : va, et prends mon cœur d'ici,
Ce qui est maintenant trop grand et bon pour moi :
Les honneurs oppriment les esprits faibles, et notre sens
Objets solides ternes ;
plus on en voit, moins on en voit.
Quand tu es parti et que la raison est partie avec toi,
Alors la fantaisie est la reine et l'âme, et tout ;
Elle peut présenter des joies plus méchantes que vous;
Pratique et plus proportionnel.
Donc, si je rêve que je t'ai, je t'ai,
Car toutes nos joies ne sont que fantastiques.
Et donc j'échappe à la douleur, car la douleur est vraie ;
Et le sommeil qui enferme les sens, enferme tout.
Après une telle friction, je me réveillerai,
Et, sauf le réveil, rien ne se repentira ;
Et doit faire pour aimer des sonnets plus reconnaissants,
Que si plus d'honneur, de larmes et de douleurs étaient dépensés.
Mon cœur le plus cher et mon image la plus chère restent ;
Hélas, les vraies joies suffisent au mieux ;
Bien que tu restes ici, tu t'en vas trop vite :
Car même au début, la réduction de la vie est un tabac à priser.
Rempli d'amour ici, puis-je être plutôt adulte
Fou avec beaucoup de cœur, qu'idiot avec aucun.
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