Prologue - Dylan Thomas
С переводом

Prologue - Dylan Thomas

Год
2014
Язык
`Anglais`
Длительность
335400

Voici les paroles de la chanson : Prologue , artiste : Dylan Thomas Avec traduction

Paroles : Prologue "

Texte original avec traduction

Prologue

Dylan Thomas

Оригинальный текст

This day winding down now

At God speeded summer’s end

In the torrent salmon sun,

In my seashaken house

On a breakneck of rocks

Tangled with chirrup and fruit,

Froth, flute, fin, and quill

At a wood’s dancing hoof,

By scummed, starfish sands

With their fishwife cross

Gulls, pipers, cockles, and snails,

Out there, crow black, men

Tackled with clouds, who kneel

To the sunset nets,

Geese nearly in heaven, boys

Stabbing, and herons, and shells

That speak seven seas,

Eternal waters away

From the cities of nine

Days' night whose towers will catch

In the religious wind

Like stalks of tall, dry straw,

At poor peace I sing

To you strangers (though song

Is a burning and crested act,

The fire of birds in

The world’s turning wood,

For my swan, splay sounds),

Out of these seathumbed leaves

That will fly and fall

Like leaves of trees and as soon

Crumble and undie

Into the dogdayed night.

Seaward the salmon, sucked sun slips,

And the dumb swans drub blue

My dabbed bay’s dusk, as I hack

This rumpus of shapes

For you to know

How I, a spining man,

Glory also this star, bird

Roared, sea born, man torn, blood blest.

Hark: I trumpet the place,

From fish to jumping hill!

Look:

I build my bellowing ark

To the best of my love

As the flood begins,

Out of the fountainhead

Of fear, rage read, manalive,

Molten and mountainous to stream

Over the wound asleep

Sheep white hollow farms

To Wales in my arms.

You king singsong owls, who moonbeam

The flickering runs and dive

The dingle furred deer dead!

Huloo, on plumbed bryns,

O my ruffled ring dove

In the hooting, nearly dark

With Welsh and reverent rook,

Coo rooning the woods' praise,

Who moons her blue notes from her nest

Down to the curlew herd!

Ho, hullaballoing clan

Agape, with woe

In your beaks, on the gabbing capes!

Heigh, on horseback hill, jack

Whisking hare!

who

Hears, there, this fox light, my flood ship’s

Clangour as I hew and smite

(A clash of anvils for my

Hubbub and fiddle, this tune

On atounged puffball)

But animals thick as theives

On God’s rough tumbling grounds

(Hail to His beasthood!).

Beasts who sleep good and thin,

Hist, in hogback woods!

The haystacked

Hollow farms ina throng

Of waters cluck and cling,

And barnroofs cockcrow war!

O kingdom of neighbors finned

Felled and quilled, flash to my patch

Work ark and the moonshine

Drinking Noah of the bay,

With pelt, and scale, and fleece:

Only the drowned deep bells

Of sheep and churches noise

Poor peace as the sun sets

And dark shoals every holy field.

We will ride out alone then,

Under the stars of Wales,

Cry, Multiudes of arks!

Across

The water lidded lands,

Manned with their loves they’ll move

Like wooden islands, hill to hill.

Huloo, my prowed dove with a flute!

Ahoy, old, sea-legged fox,

Tom tit and Dai mouse!

My ark sings in the sun

At God speeded summer’s end

And the flood flowers now.

Перевод песни

Cette journée se termine maintenant

À Dieu a accéléré la fin de l'été

Dans le torrent du soleil saumoné,

Dans ma maison secouée

Sur un casse-cou de roches

Enchevêtré de gazouillis et de fruits,

Mousse, flûte, nageoire et plume

Au sabot dansant d'un bois,

Par des sables d'étoiles de mer écumeux

Avec leur croix de poissonnière

Mouettes, cornemuses, coques et escargots,

Là-bas, corbeau noir, hommes

Abattu avec des nuages, qui s'agenouillent

Aux filets du coucher du soleil,

Des oies presque au paradis, les garçons

Poignards, et hérons, et coquillages

Qui parlent sept mers,

Eaux éternelles loin

Des villes de neuf

Des jours de nuit dont les tours rattraperont

Dans le vent religieux

Comme de hautes tiges de paille sèche,

À pauvre paix, je chante

À vous étrangers (bien que la chanson

Est un acte brûlant et huppé,

Le feu des oiseaux dans

Le monde tourne le bois,

Pour mon cygne, étalez les sons),

Hors de ces feuilles humidifiées

Qui volera et tombera

Comme les feuilles des arbres et dès

Crumble et undie

Dans la nuit caniculaire.

Au large le saumon, aspiré par le soleil glisse,

Et les cygnes muets drub blue

Le crépuscule de ma baie tamponnée, alors que je pirate

Ce fouillis de formes

Pour que vous sachiez

Comment moi, un homme tourmenté,

Gloire aussi à cette étoile, oiseau

Rugit, né de la mer, homme déchiré, sang béni.

Écoutez : je claironne l'endroit,

Du poisson à la colline de saut !

Regarder:

Je construis mon arche beuglante

Au meilleur de mon amour

Alors que le déluge commence,

Hors de la source

De peur, de rage lu, manalive,

Fondu et montagneux à ruisseler

Au-dessus de la blessure endormie

Fermes creuses blanches de moutons

Au Pays de Galles dans mes bras.

Vous, rois hiboux chantants, qui rayonnez de lune

Le scintillement court et plonge

Le cerf à fourrure de Dingle est mort !

Huloo, sur des bryns plombés,

O ma colombe ébouriffée

Dans le hurlement, presque sombre

Avec la tour galloise et respectueuse,

Coo chantant les louanges des bois,

Qui lunes ses notes bleues de son nid

Jusqu'au troupeau de courlis !

Ho, clan de vacarme

Agape, avec malheur

A vos becs, sur les capes bavardes !

Heigh, sur la colline à cheval, cric

Lièvre fouettant !

qui

Entend, là-bas, cette lumière de renard, mon bateau de crue

Clangour alors que je taille et frappe

(Un choc d'enclumes pour mon

Bruit et violon, cet air

Sur un vesse-de-loup)

Mais des animaux épais comme des voleurs

Sur les terrains accidentés de Dieu

(Salut à sa bestialité !).

Bêtes qui dorment bien et maigres,

Hist, dans les bois à dos d'âne !

La botte de foin

Fermes creuses dans la foule

Des eaux gloussent et s'accrochent,

Et la guerre des coqs des toits de grange !

O royaume des voisins à nageoires

Abattu et piquant, flash sur mon patch

Arche de travail et clair de lune

Buvant Noé de la baie,

Avec peau, écailles et toison :

Seules les cloches profondes noyées

Du bruit des moutons et des églises

Pauvre paix au coucher du soleil

Et des hauts-fonds sombres dans chaque champ sacré.

Nous partirons seuls alors,

Sous les étoiles du Pays de Galles,

Criez, Multitudes d'arches !

À travers

Les terres couvertes d'eau,

Habité avec leurs amours, ils se déplaceront

Comme des îles en bois, de colline en colline.

Huloo, ma colombe à proue avec une flûte !

Ohé, vieux renard aux pattes marines,

Mésange Tom et souris Dai !

Mon arche chante au soleil

À Dieu a accéléré la fin de l'été

Et le déluge fleurit maintenant.

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